Depuis quelque temps maintenant PSGle poste de gardien de but est pointé du doigt. En effet, Gianluigi Donnarumma ne rassure pas, et son remplacement,
Matveï Safonovne semble pas être un concurrent approprié.
Le 1er octobre dernier, au nom de la deuxième journée de
Ligue des Championsle PSG déplacé sur la pelouseArsenal. La rencontre s’est soldée par une défaite (2-0) des Parisiens, avec un premier score signé Kai Havertzaidé par… Gianluigi Donnarumma. Comme trop souvent, le gardien italien n’est pas le plus rassurant de la scène européenne. Une erreur décryptée sur le micro duAprès le pied
par Thierry Barnératl’analyste vidéo personnel de Thibault Courtois : « Nous prenons pour objectif deArsenal contre le PSG. Le centre de Trossard sur Havertzinitialement quand Trossard a le ballon, ses épaules sont perpendiculaires à la ligne de fond et n’a aucune opposition sur lui. DONC Trossard peut frapper, et pourtant
Donnarumma est à deux mètres de sa ligne, dans cette même situation, Courtois serait à un mètre de sa ligne. Et quand le centre part, il reste six ou sept mètres de trajectoire pour agir, donc ce n’est plus possible d’aller chercher le ballon. Il a été beaucoup critiqué pour cette situation, mais il n’a pas pu s’en sortir, car au départ, il défend son but.« . L’analyste vidéo conclut sur cet objectif en affirmant que Gianluigi Donnarumma n’aurait pas dû lancer cette action dans ces circonstances.
« Donnarumma a plus de mal à lire les trajectoires«
Poursuivant son analyse, Thierry
Barnard répond à Florian Gautreau
concernant les défauts de Gianluigi Donnarumma
dans les airs : Aujourd’hui, on associe encore la taille à la capacité à récupérer un ballon aérien. C’est complètement faux. C’est aujourd’hui notre capacité à anticiper une trajectoire qui est donnée par sa vitesse et la hauteur du ballon. C’est cette capacité à anticiper cette trajectoire et à comprendre, la taille n’a rien à voir là-dedans. J’ai besoin de taille pour le travail au corps à corps, pour gagner en envergure, pour voir la balle démarrer […] Donnarumma a plus de difficulté à lire les trajectoires, et cela est également dû à la gestion émotionnelle. Il faut être émotionnellement stable pour pouvoir prendre la bonne décision. Quand on est sous pression, c’est là que ça se complique. Lorsque vous souhaitez juger un gardien de but sous pression, vous devez examiner trois actions : les ballons aériens, le jeu de jambes et les ballons profonds. Ce sont toutes des situations où il y a du temps, et le temps peut engendrer le doute», rétorque au micro deAprès le pied celui qui s’occupe de Thibault
Courtois depuis 2020.