« A leur arrivée, ils sont repartis avec une main devant, une main derrière, et surtout les poches bien pleines… »

« A leur arrivée, ils sont repartis avec une main devant, une main derrière, et surtout les poches bien pleines… »
« A leur arrivée, ils sont repartis avec une main devant, une main derrière, et surtout les poches bien pleines… »

Sur RMC, l’ancien attaquant des Girondins de Bordeaux désormais consultant, Christophe Dugarrya parlé de l’arrivée en depuis plusieurs années d’entraîneurs étrangers, qui n’ont finalement rien démontré (d’intéressant) sur la durée.

« Il faudrait voir le nombre d’entraîneurs étrangers qui sont venus en France, qui nous ont semblé une bonne idée… Je pense aux entraîneurs de Lyon, aux entraîneurs de Marseille, à l’entraîneur de la sélection suisse de Bordeaux (Vladimir Petkovic, ndlr) qui nous a aussi coulé… Mais ils étaient nombreux ! Tu te dis que ces gars-là vont arriver dans une Ligue 1 qui est apparemment assez moyenne, et tu te dis que tu vas découvrir quelque chose… A l’arrivée, ils sont repartis avec une main devant, une main derrière, et surtout avec des poches marchandises remplies… Et tu n’as rien découvert, tu n’as rien appris ! Les gars, ils ont le cerveau à moitié fini, ou à moitié fini, ils partent parce qu’ils sont en colère, ou ils sont énervés… Si c’est un entraîneur français qui fait ça, il le fait depuis longtemps. est effacé. Quand je vois à Lyon la valse des entraîneurs qu’il y a eu, et qui n’ont rien démontré… »

Puis, il ajoute qu’ils arrivent généralement avec des effectifs très nombreux.

« Là, Jorge Sampoli arrive avec trois adjoints à Rennes… On dit ‘seulement trois’, c’est tout… ».

Transcription Girondins4Ever

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