Malgré le changement d’entraîneur et la nomination d’Ivan Juric à la place de Daniele De Rossi, la situation ne s’est pas améliorée à l’AS Roma, battu dimanche par le Hellas Vérone et qui pointe à la 12e place de la Série HAS.
L’amélioration de la fin de saison dernière n’a pas duré longtemps à l’AS Rome, où Daniel De Rossi a rapidement payé les mauvais résultats du début de saison. Un choix qui a provoqué la stupéfaction des supporters, qui auraient aimé que l’ancien milieu défensif du club romain bénéficie d’un peu plus de temps et de confiance de la part des dirigeants. Mais, sous pression après un début de championnat délicat, la direction de l’AS Rome a finalement fait le choix de licencier Daniele De Rossi et de nommer Ivan Juric à sa place.
Le problème, c’est que les résultats ne se sont pas améliorés et le club de la Louve pointe aujourd’hui à la 12ème place de Serie A, derrière des clubs modestes comme le Torino ou Empoli. La situation ne peut pas continuer ainsi et pour les Friedkins, la famille américaine propriétaire de l’AS Roma, il va falloir agir. Dans l’édition d’aujourd’hui, le Gazzetta du Sport fait le point sur la situation du club romain et le journal aux pages roses nous apprend qu’un deuxième changement d’entraîneur est possible. Paulo Sousa et Roberto Mancini sont traqués contrairement à Claudio Ranieri et Frank Lampard, dont les noms ont fuité dans la presse italienne ces derniers jours, mais qui n’ont pas été contactés.
L’AS Rome contacte Nasser Al-Khelaïfi
Le média transalpin révèle également que les Friedkins ont demandé l’aide d’un certain… Nasser Al-Khelaïfi. Empêtrés dans une situation sportive difficile, les dirigeants de l’AS Roma ont passé quelques jours à Paris et en ont profité pour demander conseil au président du Paris Saint-Germain, avec qui ils se sont entretenus. “une connexion profonde” et une relation de confiance totale. Reste désormais à savoir ce que le dirigeant qatari conseillera à ses amis de l’AS Rome, dont le directeur sportif n’est autre que Florent Ghisolfi, ancien de Lens et de Nice. Les mauvaises langues diront peut-être que Nasser Al-Khelaïfi n’est pas le mieux placé pour donner des conseils sur la gestion d’un club, mais c’est vers le patron du PSG que l’État s’est tourné. major d’un Rom en crise.