“Avec Pierre Arditi, on est comme des trapézistes, on ne lâche rien”

“Avec Pierre Arditi, on est comme des trapézistes, on ne lâche rien”
“Avec Pierre Arditi, on est comme des trapézistes, on ne lâche rien”

ENTRETIEN – En expositionUne fanfared’Emmanuel Courcol, elle revient au théâtre après six ans d’absence avec Le prix, de Cyril Gely, Bracelets porte-bonheur aux bras, l’actrice parle de son métier et de ses passions.

Dans cette pièce mise en scène par Tristan Petitgirard au Théâtre Hébertot, la discrète membre honoraire de la Comédie-Française incarne Lise Meitner, une physicienne autrichienne de renom. En décembre 1946, au Grand Hôtel de Stockholm, elle retrouve son ancien collaborateur, Otto Hahn (Pierre Arditi), célèbre chimiste venu recevoir le Nobel.

LE FIGARO. – Tu n’es pas allé au théâtre depuis 2018, ça t’a manqué ?

Ludmila MIKAËL. – Le projet de Prix remonte à quatre ans. Le montage a pris un peu de temps. C’était mon Saint Graal. Je ne sais pas si le théâtre m’a manqué, mais je me rends compte que c’est ma vie dès que j’y retourne.

C’est Pierre Arditi qui vous a proposé ce projet.

Nous rêvions de jouer ensemble depuis longtemps. Un jour, il m’a appelé. « Ludmila, c’est Arditi au téléphone. Ça y est, j’ai trouvé un texte pour nous. » Nous nous connaissions depuis trente-sept ans, depuis que j’avais quitté la Comédie-Française. Je le remercie d’avoir pensé à moi. C’est…

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