Donald Trump et Melania Trump le 20 janvier 2025. (Melina Mara/The Washington Post) (Image crédit : © Melina Mara/CNP via ZUMA Press Wire)
1. Origines slovènes
Née le 26 avril 1970, Melania Trump, dont le nom de naissance était Melanija Knavs, a grandi à Sevnica, en Slovénie (alors Yougoslavie). En 2017, elle est devenue la première femme née à l’étranger depuis Louisa Adams, épouse du sixième président américain John Quincy Adams. Compte tenu de son histoire, sa position est complètement différente. Dans son livre, elle dit :Mon expérience personnelle de l’épreuve du processus d’immigration m’a ouvert les yeux sur les difficultés rencontrées par tous ceux qui souhaitent devenir citoyens américains.« .
2. Carrière de mannequin
Avant de devenir première dame, Melania a mené une carrière internationale de mannequin dès son adolescence, travaillant à Paris, Milan et New York pour des marques prestigieuses. Elle a réussi à se faire une place en travaillant avec divers photographes et en apparaissant sur les couvertures de magazines comme Vogue et Vanity Fair.
3. Rencontre avec Donald Trump
Melania a rencontré Donald Trump en 1998 lors d’une soirée à New York. A l’époque, elle était mannequin, et Donald, déjà célèbre, venait de divorcer. Leur relation a évolué rapidement, aboutissant à leurs fiançailles en 2004 et à un mariage en 2005 à Mar-a-Lago, avec des invités de marque comme Bill et Hillary Clinton. En 2006, ils ont accueilli leur fils, Barron.
PHOTO AFP/DON EMMERT (Photo de Don EMMERT / AFP)
4. Polyglotte ?
Certains disent qu’elle parle couramment le slovène, l’anglais, le français, l’allemand, etc. Mais aucune preuve de cette affirmation n’existe. La raison ? Elle est rarement présente publiquement. Tout le contraire de son mari.
5. Profil atypique
Il faut dire qu’elle n’avait pas le profil pour se retrouver à la Maison Blanche : Melania Trump, ancienne mannequin, avec un écart d’âge de 24 ans avec son mari… Lui et elle ont des profils qui n’étaient pas habituels pour assumer ces fonctions. .
-6. Discrétion
Contrairement à certains de ses prédécesseurs, Melania Trump est une première dame discrète. La preuve en est encore hier, lors de l’investiture de son mari, elle est apparue avec un chapeau, qui cachait son visage une bonne partie du temps, et sur de nombreuses photos. Une métaphore anecdotique évidemment, pour illustrer son retrait de la scène publique par rapport à son mari.
Photo d’ANGELA WEISS / AFP
7. Accusation de plagiat
Son premier mandat de première dame n’a pas été sans controverse, notamment sur le plagiat présumé de son discours à la Convention nationale républicaine de 2016, qui ressemblait au discours de Michelle Obama en 2008. La plume de Melania, Meredith McIver, s’est excusée. “Michelle Obama est quelqu’un qui [Melania Trump] toujours aimé. Au téléphone, elle m’a lu quelques extraits des discours de Mme Obama à titre d’exemples. Je les ai écrits, puis j’ai inclus la formulation dans le brouillon, qui est devenu le discours final. Je n’ai pas vérifié les discours de Mme Obama. C’est mon erreur et je suis désolé pour le chaos créé pour Melania et les Trump, ainsi que pour Mme Obama. Je n’avais pas l’intention de faire du mal“, a-t-elle expliqué.
8. Moins populaire
Moins présente que les autres premières dames, elle est également moins populaire. Début août 2026, un sondage « Washington Post »-ABC News a affirmé que Melania Trump était l’épouse du candidat le moins populaire depuis Hillary Clinton.
9. Pour l’avortement
Contrairement au flou et parfois même à l’opposition de certains membres du camp républicain, dont son mari, la première dame s’est prononcée en faveur de l’avortement dans son livre « Melania, l’ex-Première ». « Le droit fondamental d’une femme à la liberté individuelle, à sa propre vie, lui donne le pouvoir d’interrompre sa grossesse si elle le souhaite. […] Restreindre le droit d’une femme de choisir d’interrompre une grossesse non désirée, c’est lui refuser le contrôle de son propre corps.» Au moins, sa position est claire.
10. Citoyenneté américaine obtenue grâce à un processus spécial
Melania a obtenu la nationalité américaine en 2006, alors qu’elle disposait déjà d’un permis de séjour permanent depuis 2001. Elle bénéficiait du « visa Einstein », le surnom populaire donné au visa américain EB-1, qui est destiné aux personnes possédant « des compétences exceptionnelles ou ». talents. Par exemple, dans les arts, les affaires, etc.
