Comédienne et actrice de renom, qui vient de rejoindre le casting de Scènes de ménage (M6), Elodie Poux a grandi dans un milieu défavorisé. Et elle ne cache pas que sans l’humour et la comédie, elle aurait eu une vie bien différente.
Tic, tac. Tic, tac. Plus que quelques jours avant de découvrir les premiers pas d’Elodie Poux et de son partenaire Majid Berhila dans Scènes de ménage. “Ils sont venus me chercher parce qu’ils aiment ce que je fais. Ils veulent Elodie Poux», confie, à Télé Câble Sat, celle devenue comédienne et comédienne née à Longjumeau.
Elodie Poux se confie sur la vie qu’elle aurait eue sans humour
Interrogée par nos confrères sur son enfance, Elodie Poux confirme qu’elle a grandi dans « un environnement défavorisé » et elle a le “sentiment d’avoir pris sa revanche sur la vie« . “Normalement, je devrais vivre dans une ville de merde avec six enfants et aller aux Restos du Cœur pour les nourrir, donc j’ai beaucoup de chance», admet-elle, précisant que ce sujet n’est pas «celui auquel elle s’adresse le plus”. Et cela pour une raison bien particulière. “Les interviews d’humoristes déprimés m’énervent. Nous sommes là pour apporter du rire et un peu de bien-être», conclut celui que le public retrouvera à partir du 13 janvier dans Scènes de ménage.
Elodie Poux (Scènes de ménages) sur son ancien métier dans les écoles
Avant de devenir une comédienne et comédienne reconnue, Elodie Poux exerçait un tout autre métier. La nouvelle recrue de Scènes de ménage était en effet animatrice d’activités périscolaires avant de se lancer comme comédienne. “Dans l’école où j’ai travaillé le plus longtemps, à Nantes, il y a un mur qui m’est destiné dans le bureau du directeur. Je leur envoie des cartes postales et des coupures de presse. Dès que je joue dans la région, il y a des parents d’élèves, d’anciens collègues et même des enfants devenus grands qui viennent me voir.raconte-t-elle à nos confrères, soulignant à quel point démarrer sa carrière plus tard que les autres acteurs lui a été bénéfique. « J’ai eu la chance de découvrir le théâtre sur le tard, vers la trentaine, ce qui m’a permis de m’épanouir. »