NOTRE SÉLECTION – Nine revient sur une année qui s’achève et durant laquelle l’actualité rock n’a pas faibli.
Cet article vient de Le Figaro Magazine.
Crooner
Il est apparu en solo après avoir joué avec Pulp and the Longpigs au début des années 2000. Originaire de Sheffield (un père Teddy Boy, un oncle accompagnant des musiciens de blues américains lors de leurs tournées en Angleterre), Richard Hawley a immédiatement inspiré un style très personnel : une musique raffinée, avec écho, vibrato à la guitare Gretsch, de nombreuses ballades aux sonorités néo-fifties. des berceuses chantées avec une voix de baryton : le Robert Mitchum de La Nuit du chasseur en version bienveillante.
Au fil des années, il élargit sa palette, jusqu’à s’égarer légèrement dans la décennie suivante. Il revient, pour le plus grand plaisir de ses admirateurs, à ses premières amours, et sort l’un des plus beaux enregistrements de sa déjà très longue carrière, où l’on retrouve toutes les caractéristiques de ses chefs-d’œuvre précédents. Gloire et résurrection.
- Richard Hawley, Dans cette ville qu’on appelle ton amour (BMG)
L’éternel retour
Malheureusement encore quasiment inconnu en France, Paul Weller est une véritable institution en Angleterre. L’ancien chanteur (et auteur-compositeur) de Jam and Style Council a connu une renaissance…
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