Sandrine Kiberlain makes a strong impression in Sarah Bernhardt, La Divine de Guillaume Nicloux, en salles depuis mercredi 18 décembre dernier. Mais ce film n’a pas plu à tous les spectateurs, notamment à une association de défense des animaux. je m’amuse explique pourquoi.
C’est l’une des nouveautés cinéma dont on a beaucoup parlé ces derniers jours. Dans Sarah Bernhardt, La Divine de Guillaume Nicloux, Sandrine Kiberlain prête ses traits à l’une des plus grandes tragédiennes françaises qui vécut entre 1844 et 1923. Un rôle qui fera date dans sa carrière tant son interprétation laisse une impression durable. “Je me suis complètement abandonnéavait confié le principal intéressé dans le dossier de presse du film. Je n’ai pas cherché à savoir ce que j’avais fait ni comment. C’est une des raisons pour lesquelles j’ai attendu si longtemps pour voir le film de Guillaume. J’avais un peu peur de découvrir à quel point je m’étais laissé emporter par elle. J’avais l’impression d’aller loin. Volontairement. Il fallait aller loin pour y jouer« .
Sorti mercredi 18 décembre 2024, le biopic sur cette grande célébrité de la fin du XIXème siècle a attiré 140 451 curieux pour sa première semaine d’exploitation, en septième position derrière notamment Une fanfare, Sous les noix et les deux imbattables Disney, Mufasa Le Roi Lion et Vaiana 2. Cependant, si Sarah Bernhardt, La Divine Plutôt bien accueilli par la critique, il a déclenché la colère d’une association de défense des droits des animaux appelée PAZ, Paris Animaux Zoopolis. Elle reproche à la production Les Films du Kiosque d’avoir «exploité« de véritables animaux sauvages captifs pour le tournage du long-métrage, dont au moins un lynx et un serpent.
Sarah Bernhardt vivait avec des animaux sauvages
En effet, Guillaume Nicloux a voulu montrer que son héroïne vivait avec de nombreuses bêtes exotiques qu’elle n’hésitait pas à laisser errer dans son appartement parisien quitte à effrayer ses visiteurs. “En 2024, il serait temps d’évoluer et de ne pas répéter les erreurs de nos prédécesseurs !», critique le PAZ dans un communiqué publié le 16 décembre, expliquant qu’il s’est mobilisé lors de plusieurs avant-premières à travers la France.sensibiliser le public à l’exploitation animale dans ce film» et demander des alternatives à l’avenir. En attendant, le biopic est toujours disponible dans de nombreux cinémas.
