Jouer avec une tarentule n’est peut-être pas le rêve de tous les acteurs. C’est pourtant ce que devaient faire les acteurs de STAT cette saison, alors que l’auteure Marie-Andrée Labbé invitait une araignée entre les murs de l’hôpital Saint-Vincent.
Nous avons pu en discuter avec le comédien Bruno Marcil, qui a dû interagir de très près avec la bête, une aventure dont il garde de bons souvenirs.
On se souviendra de la scène effrayante où Daniel avait l’araignée sur la jambe. A ce sujet, le comédien nous confie : « Oui, c’était ma jambe, et j’ai même dû lui caresser le ventre pour qu’elle avance. » Voilà une situation qui aurait donné des cauchemars à de nombreux arachnophobes, mais qui n’a pas semblé déranger l’acteur.
« Honnêtement, je n’aime pas les araignées, mais c’est comme si elles étaient un autre animal. Tu sais, elle est grande, elle est poilue. Honnêtement, elle n’est pas moche. Je la trouve moins moche que les grosses araignées qu’on a ici. »
Alors j’ai su qu’elle n’avait pas vraiment mordu.
« Elle ne mordait jamais, elle était douce. Je ne pouvais pas m’empoisonner, alors je la trouvais mignonne. »
Il poursuit : « Nous exerçons de nombreuses activités différentes dans notre profession. Cela m’a permis de jouer avec une araignée ce jour-là ! J’ai joué avec un castor, j’ai joué… J’ai joué avec quelques animaux, et l’araignée était peut-être la plus collaborative. (rires) Il fallait la flatter pour la faire bouger. »
En ce sens, l’acteur se souvient d’un moment de sa carrière, il y a plusieurs années, où il devait jouer avec un serpent pour une publicité de Vidéotron : « Une fois, j’avais sur moi un boa albinos de 7 pieds de long, puis j’étais en bobettes (rires). J’avoue que l’araignée n’y avait pas grand chose comparé à ça ! »
L’auteure Marie-Andrée Labbé a récemment répondu aux critiques des téléspectateurs concernant cette intrigue. Une interview à lire ici.
STAT reprendra du service le lundi 6 janvier à 19 h, à -.
Découvrez ici ce que Bruno Marcil pourrait nous dire sur la suite. Il a également répondu aux commentaires des téléspectateurs concernant son personnage.
