“après une minute de ski”, l’actrice s’est blessée à la tête

“après une minute de ski”, l’actrice s’est blessée à la tête
“après une minute de ski”, l’actrice s’est blessée à la tête

Par

Anne-Laure Petit-Hénon

Publié le

16 décembre 2024 à 19h36
; mis à jour le 16 décembre 2024 à 19h41

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Plus de peur que de mal. Alors qu’elle est l’invitée d’honneur du festival des Arcs, dédié au cinéma européen indépendant, l’actrice Karin Viard profite de sa présence dans les Alpes pour aller skier.

Mais la sortie n’était pas prévue et l’actrice a été victime d’un traumatisme crânien.

« Quel talent ! »

C’est Karin Viard elle-même qui a annoncé la nouvelle sur Instagram ce dimanche 15 décembre 2024. Dans une vidéo, on peut voir l’actrice aux trois César allongée sur un litière dans la neige, prêt à être évacué.

« Et un traumatisme crânien après le ski ! Ça s’appelle du talent !!!!», a-t-elle écrit.

Les commentaires des membres de la « grande famille du cinéma » ne se sont pas fait attendre. Josiane Balasko souhaiter « bonne chance » à « [sa] chéri”, Julie Delpy lui souhaite “un bon rétablissement.

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L’actrice debout le lendemain

Si la vidéo a été mise en ligne dimanche 15 décembre, ce lundi, Karin Viard semble aller bien mieux.

Sur une photo toujours publiée sur le réseau social Instagram, elle indique que « tout va bien » et est de nouveau présente au festival des Arcs pour « profiter de la grande sélection cinéma ».

4 500 décès par an

Plus de peur que de mal pour l’actrice donc, et heureusement. Comme l’indique le Brain Institute sur son site, « les lésions cérébrales consécutives à ces traumatismes sont une cause fréquente d’invalidité et le nombre de décès par an est estimé à 3%, soit environ 4 500 personnes.»

Les symptômes d’un traumatisme crânien sont multiples, allant des simples maux de tête aux vomissements ou aux effets neurologiques tels que aphasie ou des troubles visuels.

« Dans certains cas, un réhabilitation est nécessaire pour permettre aux patients de récupérer leurs fonctions motrices et cognitives », conclut l’institut du cerveau.

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