Les concours de beauté fascinent les gens depuis des décennies. En effet, ils incarnent un mélange onirique, d’élégance et de compétition. Ce soir, la France s’apprête à élire sa nouvelle Miss devant millions de téléspectateurs. Cet événement, suivi avec passion, reste une vitrine du prestige des élections Miss, où les candidates rivaliser de charme et d’éloquence pour représenter leur pays.
Cependant, ces compétitions ne pas unanime. Alors que certains y voient une célébration de la beauté et du talent, d’autres y voient un institution à dépoussiérer. A ce titre, un pays de l’Union européenne vient de prendre une décision radicale et inédite à ce sujet. On vous en dit plus…
Le comité Miss France en pleine polémique
Alors que la France s’apprête à découvrir lequel des 30 Miss régionales va succéder à Ève Gilles, le comité Miss France a été ébranlé par une polémique inattendue. A la veille de la grande compétition, Frédéric Gilbert, président du comité, a évoqué Buzz TV répondre aux critiques adressées au jury exclusivement féminin, présidé cette année de Sylvie Vartan. Ce choix, critiqué notamment de Pascal Praud et Cyril Hanounan’était pas intentionnel.
“Nous avons contacté des hommes, mais il semble qu’il y aura une certaine retenue dans le jury, surtout avec tout ce qui s’est passé autour du mouvement #MeToo”il a expliqué. Il a toutefois ajouté qu’il espérait meilleur équilibre l’année prochaine. Le président a également insisté sur la parfaite équité de la concurrence, avec le même - d’antenne pour chaque candidat. Ainsi, Frédéric Gilbert prouve qu’il souhaite faire taire les polémiques inutiles.
Miss Pays-Bas : clap de fin après 35 ans de règne
Après 35 ans d’existencele concours Miss Pays-Bas tire sa révérence. Ce jeudi 12 décembre, les organisateurs ont annoncé sur leur site Internet la fin de cette compétition emblématique. La raison ? Selon eux, elle n’est pas plus en phase avec l’époque actuelle. Monica van Ee, directrice du comité Miss Pays-Bas, a expliqué cette décision en pointant du doigt harcèlement et harcèlement que les candidats subissent chaque année. “Elle est trop blanche, elle est trop noire, elle n’aurait pas dû être choisie” : ces critiques incessantes, portées par les spectateurs sur les réseaux sociaux, ont généré une spirale d’énergies négatives.
Monica van Ee a confié qu’elle n’en pouvait plus ce climat de tension. Le concours, censé être une fête, s’était transformé en un terrain fertile pour des jugements toxiques. Au-delà de cette pression sociale, le comité estime que les concours de beauté, avec leurs critères figés, ne reflètent plus la diversité et les aspirations des jeunes générations. “Peut-être qu’une ceinture et une couronne ne sont plus d’actualité”a conclu Monica van Ee, qui affirme qu’il est - de tourner la page.
« Plus de ce - » apporte une nouvelle vie
Le concours Miss Pays-Bas se réinvente sous la forme d’une plateforme baptisée Plus de ce -. Cette initiative ambitieuse se concentre sur des thèmes essentiels tels que santé mentale, médias sociaux, diversité et expression de soi. Selon le comité, cette transition marque une volonté de troquer les robes scintillantes contre « des rêves qui prennent vie » et célébrons les véritables héros de la vie quotidienne. Ainsi, la plateforme a pour objectif de partager les histoires inspirantes de personnes qui ont surmonté des obstacles ou accompli des exploits inhabituels.
En outre, Monica van Ee a souligné l’impact des réseaux sociaux sur la santé mentale, en particulier chez les jeunes femmes, qui sont souvent confrontées à « des normes de beauté irréalistes » et la violence quotidienne en ligne. Avec Plus de ce -l’objectif est clair : créer un espace de soins où chacun peut être authentique, loin de la pression et du jugement. Ce changement profond vise à promouvoir entraide et solidarité entre les femmes. « Les femmes qui s’entraident et s’entraident sont pour nous un intemporel »conclut-elle. Cela a le mérite d’être clair !