C’est une affaire qui a complètement bouleversé France Inter. Le 11 juin, Guillaume Meurice est licencié de la radio publique. La raison ? Le comédien a répété une blague controversée dans l’émission Le grand dimanche soiroù il a comparé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à un «Nazi sans prépuce», ce qui lui vaut un premier avertissement. Ainsi, le contrat de Guillaume Meurice avec France Inter avait fait l’objet d’unelicenciement anticipé pour faute grave», en raison d’un «déloyauté répétée« . Suite au limogeage de Guillaume Meurice, plusieurs membres de France Inter avait décidé de quitter la station, comme Aymeric Lompret et Thomas VDB.
Guillaume Meurice évoque son départ de France Inter
Désormais, Guillaume Meurice officie Radio Nova où il anime l’émission Le dernier avec quelques anciens membres du Super dimanche soirancien programme phare de France Inter. Invité de Médias C ce dimanche 1est décembre le France 5Guillaume Meurice est revenu avec un certain sarcasme sur son éviction de la fonction publique : «J’ai eu des plaintes contre moi et les charges ont été abandonnées. C’est donc ma seule blague très officiellement autorisée par la justice française. Et ça, pour un comédien, ça compte dans une carrière ! Je ne suis même pas provocateur, je fais juste mon métier de comédien.“
“On est plus libre sur Radio Nova que sur France Inter a priori», a poursuivi Guillaume Meurice, qui a ensuite été interrogé sur sa relation avec Charline Vanhoenacker, toujours présente sur France Inter. “Chacun sa manière, chacun sa manière, faites passer le message à votre voisin…», a commenté l’humoriste, qui écoute parfois son ancien camarade. “De temps en temps, j’avoue pas tout le temps, car elle est là tous les jours, donc j’ai autre chose à faire ! Mais ça m’arrive.“
Guillaume Meurice speaks to Charline Vanhoenacker
Guillaume Meurice en profite pour adresser un message à Charline Vanhoenacker : «Je lui souhaite du courage car l’ambiance ne semble pas de tout repos compte tenu des motions de censure, etc.“L’artiste de 43 ans a clairement indiqué qu’il n’éprouvait aucune animosité envers ses ex-collègues qui travaillent encore chez France Inter : «Je ne connais pas la vie de tout le monde. Il y en a qui doivent conserver leur emploi, d’autres qui ne sont pas d’accord avec moi. Super pour eux, pas de problème.»
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