Virginie Efira, ravie, se confie sur l’arrivée de son deuxième enfant

Virginie Efira, ravie, se confie sur l’arrivée de son deuxième enfant
Virginie Efira, ravie, se confie sur l’arrivée de son deuxième enfant

L’actrice belge s’est confiée sur Marie Claire à l’occasion de sa deuxième maternité, survenue à l’âge de 46 ans.

Tout va bien pour Virginie Efira et elle le fait savoir. “Je suis très bon ! proclame-t-elle dans le nouveau numéro de Marie Clairesorti le 27 juin. Tellement bon que je rassure tout le monde en disant que cet état de bonheur ne durera pas ! « Après des années à enchaîner les rôles, l’actrice belge s’est quelque peu absentée des plateaux de tournage pour faire une pause et profiter de sa famille. Une famille qui s’est agrandie “de trois à quatre” avec la naissance en août 2023 d’un petit garçon prénommé Hiro, fruit de son union avec Niels Schneider.

Transparente, Virginie Efira ne cache pas qu’elle avait « un peu peur » à l’idée de mettre sa carrière entre parenthèses et de redevenir mère à 46 ans. D’autant que les femmes sont exposées à la difficulté de concilier vie professionnelle et vie personnelle. « Souvent, on a voulu me faire croire qu’avec la maternité, je travaillerais moins. Alors que l’arrivée de ma fille, à 36 ans, m’a donné envie de faire plus, et mieux », tempère l’héroïne de Sibylle (2019).


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« Le sentiment d’être deux parents égaux est formidable »

Ceci étant dit, Virginie Efira se souvient que sa première grossesse a été un véritable bouleversement. « À l’époque, on me disait moins – ou j’avais moins accès à l’idée – qu’on ne se sentait peut-être pas très bien après l’accouchement. Chaque fois que quelque chose n’allait pas, je me sentais coupable. Aujourd’hui, nous sommes beaucoup plus conscients de cette notion – rate postnatale, etc. Il n’y a aucun impératif indiqué, aucune injonction au bonheur figé de la mère. Même le père a été prévenu de cette possibilité. Le sentiment d’être deux parents égaux est formidable. Ce changement de mœurs a permis à l’actrice de vivre plus sereinement sa seconde maternité.

« C’est extrêmement différent, parce que nous ne sommes pas au même endroit de compréhension de nous-mêmes, de relation au monde, ce n’est pas le même père [le père de sa fille aînée Ali est le réalisateur Mabrouk El Mechri, NDLR]…La première fois, on « tombe » à la maternité, analyse-t-elle rétrospectivement. C’est la découverte de la fin de l’insouciance et de la mobilité. Et tout cela se passe en même temps qu’un amour inconditionnel, vital, nécessaire ; mais aussi avec cette immense responsabilité, doublée d’inquiétude. Je me souviens d’avoir été perdue. » Avant d’avouer avoir mis du temps à trouver un équilibre : « Je n’ai pu me construire que par rapport à ce que j’imaginais que les autres attendaient de moi. Je voulais montrer que je n’avais pas bougé, que j’avais toujours le même rapport à la fête. J’ai toujours eu peur de rater un moment de vie. »

Une deuxième maternité « joyeuse »

Les années ont passé, l’équilibre a enfin été trouvé et Virginie Efira en tire aujourd’hui la leçon : « avoir un enfant, ça t’apprend aussi que c’est là où l’on est que quelque chose se passe ». Ce faisant, la Belge de 47 ans a profité de sa dernière pause professionnelle pour se nourrir et s’épanouir. « Un bébé, c’est l’arrivée de quelque chose de nouveau qui touche tout le monde dans une famille. J’ai vécu cette période intensément, joyeusement, dans une temporalité complètement distendue. Je me suis rendue compte que c’était peut-être aussi plus agréable pour les gens avec qui je vis, parce qu’apparemment, il y avait une sorte de nervosité de ma part dans l’air… Cela facilitait d’autres moments amoureux, d’autres complicités avec mes enfants. Une nouvelle façon, tout simplement, de visiter sa ville et son quartier, de découvrir des lieux. » Une femme comblée.

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