Chaque matin, à l’émission le 6/9Ali Baddou s’entoure d’experts et aborde des sujets d’actualité. Ce vendredi 28 juin n’a pas dérogé à la règle et le journaliste a souhaité s’intéresser à la campagne qui se déroule actuellement autour des élections législatives, et notamment à celle qui se déroule sur les réseaux sociaux. En effet, depuis leur création à la fin des années 2000, les réseaux sociaux ont pris une part importante dans nos vies. Si initialement leur but premier était de nous permettre de garder le contact avec ceux qui nous entourent, leur utilisation a été rapidement détournée vers d’autres fins, notamment la diffusion d’informations. En 2020, le CSA s’inquiétait déjà de la «propagation“inquiétant”fausses nouvelles” sur X, encore appelé Twitter à l’époque. Depuis, les choses ne semblent pas vraiment s’être améliorées. Et avec l’arrivée de TikTok, le réseau social préféré des plus jeunes, il semblerait que la diffusion de ces «fausses nouvelles» est encore plus problématique. Mais alors que le sujet est particulièrement grave, notamment dans le cadre d’une campagne politique, c’est l’intervention d’un auditeur dans l’émission animée par Ali Baddou qui a provoqué un moment de gêne.
“Accuser Twitter, c’est un peu comme accuser le thermomètre quand on a de la fièvre”
Mais alors que Thomas Huchon, journaliste et auteur connu comme spécialiste de «fausses nouvelles», expliquait-il en disant que les réseaux sociaux n’ont aucun impact sur les votes des (…)
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