A quelques semaines de ses 80 ans, le 18 juillet, le père de Meghan Markle, Thomas Markle, est rongé par les regrets et la solitude. Dans une interview au « Daily Mail », il a exprimé sa tristesse de ne pas avoir de contact avec sa fille et ses petits-enfants, Archie et Lilibet, et a déclaré ressentir une « profonde empathie » pour le roi Charles, qui vit le même sort.
«Je n’aurais jamais imaginé atteindre 80 ans», déclare cet homme de 79 ans qui vit aujourd’hui au Mexique. “Tout a été éclipsé par ce qui s’est passé au cours des six dernières années.”
La séparation de Thomas et Meghan Markle a commencé en 2018, à la veille de son mariage avec le prince Harry, lorsque Thomas a subi deux crises cardiaques qui l’ont empêché de l’accompagner jusqu’à l’autel. Depuis, la communication entre eux est inexistante.
“À ce stade, je me contenterais d’une photo”
L’homme ne cache pas son amertume. Il reproche au prince Harry de ne pas être venu le voir, malgré ses ressources pour voyager à travers le monde. « Quel homme se marie sans rencontrer le père de sa femme ? Il a demandé.
Thomas Markle ressent également une « profonde empathie » pour le roi Charles, qui ne voit pas non plus ses petits-enfants. « Aucun de nous ne mérite le traitement que nous avons reçu », dit-il. “J’aimerais lui parler car je suis sûr qu’il a autant de questions sans réponse que moi”, a-t-il ajouté.
Aujourd’hui, il se dit « triste » que ses petits-enfants soient « privés du droit de connaître leurs cousins ». “Ils ont deux grands-pères qui veulent les voir, dont l’un est le roi d’Angleterre”, a-t-il déclaré.
Le réalisateur regrette l’évolution de sa fille, qu’il ne reconnaît plus. “La personne qu’elle est devenue n’est pas la fille que j’ai élevée.” « Elle a commencé à changer lorsqu’elle vivait au Canada et qu’elle fréquentait la foule de Soho House. Les choses ont empiré après avoir rencontré Harry », a-t-il poursuivi.
Pour son anniversaire, Thomas Markle n’a qu’un souhait : recevoir un signe de vie de sa fille. « J’aimerais rencontrer mes petits-enfants, confie-t-il. “Mais à ce stade, je me contenterais d’une photo.”
