L’ancien chef de l’Etat s’est récemment prêté au jeu de l’interview dans le cadre du podcast de Guillaume Pley. Et a notamment fait des confidences sur son rôle de père.
Nicolas Sarkozy a récemment participé au podcast « Légende » de l’animateur Guillaume Pley. Un long entretien diffusé le 17 novembre, au cours duquel l’ancien président de la République s’est exprimé sur le difficile exercice de la présidence, mais aussi sur sa relation avec Carla Bruni-Sarkozy et son rôle de père.
L’ancien chef de l’Etat a notamment confié qu’il avait « porté les genoux, depuis la naissance de [sa] fille (Giulia, NDLR.)”, précisant qu’elle était “très importante” pour lui, au même titre que ses autres enfants. Agée de 12 ans, la petite fille, qui s’exprime depuis peu ouvertement sur les réseaux sociaux, a également participé au podcast, à la surprise de son père.
“Elle a l’autorité de sa mère”
« Bonjour papa, ça va ? J’aimerais vous poser une petite question pour votre podcast”, a-t-elle commencé, avant de poursuivre : “J’aimerais savoir qui est votre enfant préféré ? Honnêtement, je pense que je connais la réponse. Une question qui a amusé l’homme politique de 69 ans. « Elle a l’autorité de sa mère », a-t-il d’abord plaisanté. « C’est une grande demande, mais je n’ai pas d’enfant préféré. J’aime mes enfants naturellement. Nous sommes très proches, en fait. Ils sont confrontés à la même difficulté : ils ont un nom, ils doivent utiliser le prénom. Car l’ancien maire de Neuilly-sur-Seine est aussi le père de Louis (27 ans) né de son histoire avec Cécilia Attias ; ainsi que Jean (38 ans) et Pierre (39 ans), qu’il a eu avec Marie-Dominique Culioli.
“Ma mère a vu Giulia avant moi”
Nicolas Sarkozy n’a cependant pas hésité à revenir sur les circonstances de la naissance de sa fille unique, “un miracle”, selon lui. « Nous sommes en pleine campagne électorale, j’ai été attaqué de toutes parts, tout le monde pensait que j’allais être battu… C’était comme un sas », avoue-t-il en faisant référence à la grossesse de sa femme. Au moment de l’accouchement, celui qui était encore président de la République française était en voyage à Francfort avec son homologue Angela Merkel lorsqu’il reçut l’appel lui annonçant qu’il venait d’avoir une fille. « Je quitte la réunion, saute dans l’avion et arrive à la clinique vers 22h00, 22h30 », se souvient-il. Et de préciser : “Ma mère a vu Giulia avant moi”.