Des personnalités d’horizons divers sont intervenues sur le plateau de France 2, samedi 16 novembre, dans un nouveau numéro de Quelle époque !. Tous ont été incités par Léa Salamé à parler de leur actualité ou à parler de leurs proches. C’est ainsi que Christophe Dechavanne, « l’invité permanent » du journaliste de 45 ans, a évoqué sa relation avec son défunt collègue, Jean-Luc Delarue, décédé en 2012. François Hollande, ancien président de la République et nouveau député pour la Corrèze, était l’un des convives attablés. Il a brièvement évoqué ses liens avec Julie Gayet, son épouse.
François Hollande admiring Julie Gayet: “Ce qu’elle fait pour le cinéma, c’est une belle cause”
Le père de Thomas, Clémence, Julien et Flora, nés de sa relation passée avec Ségolène Royal, a participé au jeu du « Photocall ». L’objectif de cette rubrique, bien connue des téléspectateurs qui la regardent régulièrement Quelle époque ! : exprimer, de la manière la plus spontanée possible, ce que l’on pense d’une personnalité dont Léa Salamé révèle un cliché. “Julie Gayet, c’est ma femme. Je trouve que ce qu’elle fait pour le cinéma, pour Olympe de Gouges, puisqu’en ce moment elle parcourt le pays pour défendre le film qu’elle a fait sur [cette femme de lettres, dramaturge et politicienne du XVIIIe siècle, Ndlr]est une grande cause“a détaillé l’ancien chef de l’Etat, faisant ainsi allusion à Olympe, une femme de la Révolutionun drame historique que l’actrice et productrice de 52 ans a co-réalisé avec Mathieu Busson, et dans lequel elle prête ses traits au personnage éponyme, qui sera diffusé sur France 2 en 2025.
Julie Gayet joue Olympe de Gouges : ce rôle n’a pas été “certainement pas” un fait évident
Ces dernières semaines, Julie Gayet s’est exprimée à plusieurs reprises dans la presse à propos de ce long-métrage. Mi-octobre, l’actrice a répondu aux questions de Sans Midi et le journaliste lui a demandé si ce rôle lui paraissait évident. “Pas du tout. C’est le fameux syndrome de l’imposteur. On a toujours l’impression que nous ne sommes pas légitimes”a révélé de bout en bout celui qui avait initialement prévu de “prenez une actrice”. Si elle a accepté de porter à l’écran ce révolutionnaire guillotiné en 1793, « c’est grâce à la direction de France Télévisions, qui [lui] un dit : ‘Mais ça fait des années qu’on te voit parler de ce projet, c’est toi Olympe.’» Avoir un co-réalisateur à ses côtés a fait déclic. «Je me suis dit : ‘Oui, c’est absurde, pourquoi je n’y joue pas ?’, a-t-elle conclu. J’aurais regretté de ne pas l’avoir joué. J’ai adoré porter sa voix.
Article rédigé 6Medias