La chance n’était pas du côté d’Anne-Sophie ce week-end ! Le candidat a participé au 12 Shots de midi, ce vendredi 15 novembre 2024, en espérant peut-être réussir à battre Émilien, le célèbre Maître de midi, qui poursuit son parcours dans le jeu de TF1 depuis maintenant plus d’un an. Mais la participante orléanaise n’a pas vraiment réussi à briller par ses bonnes réponses, notamment au premier tour. En effet, Anne-Sophie n’a pas trouvé la solution exacte à la question qui lui était posée, mais elle a également manqué d’intuition lorsqu’on l’interroge sur les énigmes attribuées à ses adversaires !
Les 12 coups de midi : Émilien humorously mocks his opponent
En effet, la maman de trois enfants a pu donner son avis sur la question musicale posée à son concurrent Fadhyl… mais elle s’est encore trompée. “jeIl faut faire confiance à Anne-Sophie, elle se trompe à chaque fois !», a alors taquiné Jean-Luc Reichmann, avant de se retourner pour interroger le troisième candidat prénommé Matthieu. Une fois que ce dernier avait validé une réponse, il était donc impossible pour l’animateur de ne pas interroger Anne-Sophie sur son intuition… Pas de bol pour Matthieu, ce dernier aurait fait le même choix que lui : «Eh bien, je ne suis pas dans la sauce !», remarquait en riant le jeune homme avantEmilienjusqu’à présent silencieux, se joint également à la conversation. “Je pense que si Anne-Sophie avait répondu « Signes astrologiques », alors ce serait l’autre… vu la chance qu’elle semble avoir !», a-t-il déclaré avec humour.
Les 12 coups de midi : Jean-Luc Reichmann usurpe un candidat
Petite moquerie du Maître de Midi, qu’Anne-Sophie n’a pas semblé comprendre : «Oh merci, c’est sympa», a-t-elle répondu, poussant Jean-Luc Reichmann à lui expliquer qu’Émilien la taquinait : «Euh… Il dit que tu as tort ! Êtes-vous à l’écoute de la même émission ?», a-t-il demandé voyant que le candidat avait du mal à suivre. “C’était une blague mais ce n’est pas extrêmement sympa“, le champion a alors tenu à s’excuser. Anne-Sophie rétorque cette fois, au second degré, : «Oh mais je n’ai pas compris, donc je ne suis pas offensé !“