Donald Trump est-il un ami ? « Un partenaire », répond Chrystia Freeland

Donald Trump est-il un ami ? « Un partenaire », répond Chrystia Freeland
Donald Trump est-il un ami ? « Un partenaire », répond Chrystia Freeland

Lorsque Chrystia Freeland a été interrogée sur la relation entre le Canada et Donald Trump, la vice-première ministre a préféré répondre que le président élu américain était un « partenaire » plutôt qu’un ami.

• Lisez également : Le Canada ne devrait pas avoir « peur » du retour de Trump, dit Freeland

• Lisez également : Première réunion de « l’Équipe Canada » de Justin Trudeau

“Nous considérons Donald Trump comme un partenaire du Canada”, a-t-elle déclaré dans le bulletin. Le 20h30Mercredi.

Réélu pour une semaine, celui qui sera le 47ee Le président américain a déjà annoncé la nomination de plusieurs personnalités qui deviendront des hauts responsables de son administration.

Parmi eux, Elon Musk, Kristi Noem, Pete Hegseth, Mike Waltz et Marco Rubio. D’ailleurs, certains n’ont pas fait d’efforts pour critiquer les mesures prises par le gouvernement Trudeau.

Malgré ces critiques, Mmoi Freeland pensait qu’elle ne manquerait pas d’« amis à la Maison Blanche ».

«Nous sommes importants pour eux», a-t-elle rappelé sur LCN.

Elle a ajouté que pour les États-Unis, le commerce avec le Canada est plus important que les marchés de la Chine, du Japon, du Royaume-Uni et de la réunis.

Les relations avec le Mexique sont tendues

Chrystia Freeland s’est néanmoins dite préoccupée par les relations entre le Mexique et la Chine.

En effet, les présidents chinois et mexicain se sont rapprochés économiquement.

En réponse à cette plus grande coopération, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a proposé de conclure un nouvel accord de libre-échange, mais uniquement avec les États-Unis. Un acte que M ne souhaite pas suivremoi Freeland.

De son côté, le bras droit de Justin Trudeau a affirmé qu’il ne tenait pas pour acquis l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM), signé en 2020, avec Donald Trump.

“Nous partageons les inquiétudes, elles sont légitimes”, a expliqué le vice-Premier ministre.

Elle reste toutefois ouverte à un resserrement de la vis sur le Mexique, sans préciser quelles mesures pourraient être mises en place.

Pour visionner l’interview de Chrystia Freeland, cliquez sur la vidéo ci-dessus.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT L’impératrice Farah retrouve sa famille à l’approche des fêtes de fin d’année