Invitée sur le plateau de “Quotidien” lundi 4 novembre dernier, Sara Forestier a affirmé avoir été “giflée par un acteur” lors du tournage d’un film. Nicolas Duvauchelle, avec qui l’actrice aurait eu une altercation en avril 2017, nie avoir frappé l’actrice.
Absente des plateaux de tournage depuis plusieurs années, Sara Forestier revient au cinéma dans le film Trois amis d’Emmanuel Mouret, aux côtés de Camille Cottin et India Hair. Invité sur le tournage de Tous les jours la semaine dernière pour promouvoir le long-métrage, l’actrice de 38 ans est revenue sur son choix de mettre sa carrière entre parenthèses.
Sara Forestier affirme avoir porté plainte
“Il m’a fallu quelques années pour me reconstruire”, a-t-elle déclaré avant de révéler qu’elle avait été “frappée par un acteur dans un film”. “J’ai été giflée et j’ai quitté le film (…) Je suis allée au commissariat et j’ai porté plainte”, a-t-elle expliqué sans citer le nom du long-métrage et sans nommer l’acteur qu’elle accuse. « Le traumatisme n’est pas pris en compte au cinéma. On s’amuse très souvent à dire que les femmes abîmées sont folles”, a-t-elle ensuite déploré.
Sara Forestier fait-elle ici référence à son altercation avec Nicolas Duvauchelle sur le tournage de Bon homme par Marion Vernoux ? En avril 2017, la presse people révélait que les deux acteurs s’étaient violemment disputés car la jeune femme était en retard. “Ivre de rage, elle a commencé à menacer Nicolas, à le traiter de tous les noms, y compris ‘déchet du cinéma français’ avant de lui donner une violente gifle”, peut-on lire dans Voici. La production du film avait décidé de licencier Sara Forestier et de la remplacer par Ana Girardot.
Nicolas Duvauchelle proclaims his innocence
Quelques jours après les déclarations de Sara Forestier contre Yann Barthès, Nicolas Duvauchelle a rompu le silence sur les réseaux sociaux. “Que ce soit clair à tous les surnoms de justiciers en carton… Je n’ai jamais touché à Sara Forestier”, lui a confié l’acteur dans une story partagée sur son compte Instagram. “Plusieurs témoins étaient présents dont le directeur et une enquête a été diligentée par la justice”, a-t-il ajouté, exigeant “de respecter le verdict”. « J’envisage de poursuivre en justice tous les malins qui continuent de me poster lâchement des messages », a alors menacé Nicolas Duvauchelle, avant de conclure : « J’ai une famille et des enfants. Merci de les respecter et de respecter la vérité et non vos fantasmes. Bon week-end à tous.