Bud Spencer a dû garder la barbe toute sa carrière ! Pour quoi ? La réponse dans ce délicieux livre sur la star du duo culte des années 70-80 – Actus Ciné

Si vous avez grandi dans les années 70 ou 80, vous connaissez forcément le tandem Terence Hill/Bud Spencer, spécialistes de la « comédie burlesque ». Une autobiographie de Bud Spencer révèle d’étonnantes anecdotes sur sa carrière.

Vous souvenez-vous de Terence Hill et Bud Spencer ? Duo comique des années 70-80, ils ont fait les beaux jours des cinémas, puis des vidéoclubs et des rediffusions TV avec leurs films toujours bon enfant et familiaux.

Et cette année, l’autobiographie de Bud Spencer, décédé en 2016, sort pour la première fois en France. Heureusement, il nous reste ses films et son personnage fort, grincheux et barbu, toujours prêt à distribuer quelques gifles pour la bonne cause !

Une nouvelle édition avec préface de Terence Hill

Cinématographie Tritone

Les super flics

Mieux encore, cette édition française de l’ouvrage comprend une nouvelle préface signée par nul autre que Terence Hill, l’autre moitié du duo, le beau mec rebondissant et souriant… également distributeur de gifles !

Titré Mes mille et une vies, le livre publié par « L’Editeur à part » couvre toute la carrière de Spencer, de son vrai nom Carlo Pedersoli. Il évoque notamment les raisons du choix de ce pseudonyme, sa rencontre avec Hill, leurs films ensemble, leurs films séparément et sa carrière de nageur olympique.

Parmi les films de Bud Spencer avec Terence Hill, on repense aux deux films Trinita, aux deux Super-flics, mais aussi à Hello Friend, Goodbye Treasure, God Forgive, Me Not ou encore Ass and Shirt.


AMLF

Cul et chemise

Solo, Spencer deviendra le héros de la tétralogie de comédies policières Piedone (littéralement « Pied Plat » en français). En France, on n’a rien compris, donc leurs titres sont Un flic hors-la-loi, The Bruiser, Flatfoot in Africa et Flatfoot on the Nile.

Une anecdote du livre


Titanus

Pieds plats en Afrique / Inspecteur de bulldozer

On apprend dans le livre que Spencer était imberbe jusqu’en 1967, lorsqu’on lui a demandé de se laisser pousser la barbe pour le western God Forgives, Me Not !, son premier long métrage avec Terence Hill. Pour répondre à la demande du réalisateur qui souhaitait que des héros mal rasés surfent sur les films de Sergio Leone, il a accédé… et le film a été un succès qui l’a fait connaître à l’international ! Il s’efforcera ensuite de conserver cet attribut tout au long de sa carrière.

 
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