Interviewé par Madame Figaro Avec son ami le créateur Nicolas Ghesquière, Brigitte Macron a évoqué les nombreuses critiques dont elle est victime, notamment à cause de son style vestimentaire, largement commenté à chacune de ses apparitions publiques. L’une des choses les plus remarquées chez la Première Dame, par exemple, ce sont ses jupes. Jugées trop courtes par certains puritains qui voudraient que les épouses des présidents ne portent que des vêtements traditionnels, les jupes de Brigitte Macron lui ont valu plusieurs remarques souvent déplacées.
« La longueur de vos jupes est devenue un sujet de conversation international. Est-ce que cela vous amuse ?“, “Je repense à mon premier voyage officiel au sommet de l’OTAN en Belgique, je portais une robe légèrement courte. Je ne m’en suis pas rendu compte car je m’habillais comme ça dans ma première vie (…) Lors des déplacements officiels, il est impensable de ne pas respecter le protocole. En règle générale, dans la plupart des pays, il est de bon ton de ne pas trop en montrer.» a confié la Première dame qui révèle toutefois avoir une nette préférence pour le court : «J’ai aussi du mal avec la longueur en dessous du genou. Pour moi, c’est définitivement au dessus !« .
Autre sujet de conversation, les talons hauts ou les baskets de la Première Dame : «Vous portez des talons hauts ou des baskets, ce qui peut être considéré comme inhabituel pour une Première Dame. Avez-vous le goût de la transgression ?», lui ont demandé les journalistes.
Brigitte Macron « exaspérée » par le mensonge
L’épouse d’Emmanuel Macron répond : «Les gens me traitent de transgressif à cause de la vie que j’ai menée, mais je ne me vois pas du tout comme ça. Ce n’est même pas une question de mode : je ne suis pas une adepte. Par exemple, je n’ai jamais considéré que les talons hauts étaient un symbole d’aliénation pour les femmes. Je les porte parce que je ne me sens pas bien avec des talons plats, c’est comme ça. Quant aux baskets, je choisis uniquement des compensées. J’ai besoin d’une cambrure, ce qui n’est pas pire : ainsi, la démarche est plus contrôlée, ce qui est approprié dans certaines circonstances», ajoutant très judicieusement : «La critique n’est jamais un problème. Je n’ai aucun problème avec les critiques. Par contre, ce qui m’a toujours exaspéré, c’est la mauvaise foi, le mensonge et la malhonnêteté.« .
