qui est Joseph Kamel, le musicien aux multiples casquettes

qui est Joseph Kamel, le musicien aux multiples casquettes
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Depuis, Joseph Kamel compte plusieurs succès à son actif, comme « Celui qui part » et un album « Miroirs » sorti en 2023. Et partage l’affiche avec celui que l’on pourrait qualifier de son mentor, Julien Doré. “Durant la tournée, plus précisément le 11ème rendez-vous au parking du Zénith de Strasbourg, j’ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai proposé de me rejoindre sur l’album, et il a accepté.é » C’est ainsi qu’est né « Beau ». “Dès que nous avions cinq minutes, nous nous retrouvions tous les deux dans la loge, puis nous discutions de la chanson. l’artiste explique encore.

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Pourquoi avoir choisi « The Artist » et pas un télécrochet plus connu ?

« L’Artiste avait la distinction unique au monde, qui n’a plus jamais été faite depuis, d’être un télé-crochet d’auteur-compositeur. En tant que candidats, nous sommes venus défendre nos chansons et nos compositions. Pour moi, ce n’était pas le nom du télécrochet ni le fait de gagner ou pas mais plutôt l’opportunité de passer à la télévision, sur France 2 et de chanter mes propres chansons. J’ai adoré cette expérience.

Comment est née cette fibre artistique ?

« J’ai grandi en Égypte et je viens d’une famille de grands mélomanes avec une collection assez folle de CD et de vinyles. Je prenais un CD ou deux et je les écoutais encore et encore pendant une semaine. Mais c’est en arrivant en France, lorsque j’ai acheté ma première guitare, que j’ai commencé à jouer des reprises.

Alors l’écriture est venue plus tard ?

« Non, ça a toujours été une passion de simplement faire de la musique. Au bout d’un moment, en répétant les chansons que j’adorais, j’ai eu cette envie de créer les miennes. C’est venu naturellement. J’ai toujours aimé créer, dessiner ou inventer des choses, depuis toute petite. Par exemple, à huit ans, je voulais écrire un livre ! (des rires) Écrire des chansons m’a vite semblé une évidence et cela a réuni mes deux passions, la musique et la création. »

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Lorsqu’on écoute vos chansons, on se rend vite compte du contraste entre des paroles parfois très dures et une mélodie plutôt joyeuse…

« Chaque chanson part d’un postulat initial, d’une situation qui peut parfois être compliquée. Et avec ça, j’ai envie de me dire que je vais écrire une chanson pour me dire d’aller mieux, et surtout de trouver la beauté dans toutes ces situations compliquées qu’on peut vivre.

Vos chansons sont-elles toutes tirées de situations personnelles ?

« Ce que j’aime dire, c’est que tout n’a pas été vécu, mais toutes les émotions ont été ressenties. Je prends l’exemple de Premier rendez-vous, C’est une chanson sur un gars qui voit son ex-petite amie à table avec son nouveau mec et qui lui rappelle plein de souvenirs. C’est une situation que je n’ai pas vécue spécifiquement mais que je peux ressentir. De toute façon, je ne pourrais pas écrire sur quelque chose que je ne ressentais pas moi-même.

Vous avez également co-écrit « Ceux que nous étions » de Pierre Garnier, vous attendiez-vous à un tel succès ?

« Qui aurait pu s’attendre à cela ! (des rires) J’ai été fasciné par tout le parcours de Pierre dans la série. Le voir vivre son rêve était incroyable. Je le regardais depuis mon canapé ou sur mon téléphone lorsque j’étais en tournée. C’est vrai que d’un côté il y a un peu de fierté de dire que j’ai participé à la création de ce titre mais surtout j’en ai beaucoup de joie.

Grâce à cette chanson, les gens vous ont aussi découvert…

“Oui c’est vrai. Après, je sépare vraiment les choses. Dans ce cas, pour moi, quand on écrit pour quelqu’un d’autre, l’idée n’est pas d’y mettre son égo, pas d’y mettre son nom et son projet. Ce que je voulais juste faire, c’était servir cette chanson, et la façon dont Pierre voulait la chanter. Et c’était le centre du processus. C’est qu’il y avait une chanson que j’aimais, et c’est ce qui s’est passé, c’est trop cool. »

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Sur les réseaux, on vous compare souvent à l’écriture de Jean-Jacques Goldman…

« Ah wow ! Goldman est peut-être l’artiste qui m’inspire le plus en France, que ce soit dans sa carrière ou même dans sa musique. C’est toujours un honneur de pouvoir écrire des chansons pour les gens. Déjà, c’est quelque chose de puissant, de recevoir la confiance de quelqu’un qui est prêt à prêter sa voix aux paroles que je vais lui donner. Et puis écrire pour les autres est un exercice qui est passionnant, car à chaque fois, je me retrouve face à un nouveau défi avec une nouvelle voix, une nouvelle façon de prononcer les mots ou une nouvelle façon de chanter. Que ce soit pour Pierre ou pour Métissa, avec qui j’ai collaboré, c’est passionnant car c’est au-delà d’artistes incroyables, ce sont aussi des voix incroyables.

Depuis, d’autres artistes sont venus vers vous pour des collaborations ?

»(Rires) J.Je ne peux pas rire en disant… »

Vous avez visité le Cirque Royal le 5 avril, date qui affichait complet. Y aura-t-il bientôt de nouvelles dates ?

« Je serai présent aux Francofolies de Spa le 19 juillet et j’espère qu’il y aura de nouvelles dates, oui !

 
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