Ce sont les mots utilisés par la journaliste et complice de Paul Houde pour le décrire, Thérèse Parisien. Cela explique également pourquoi cela a touché tant de personnes dans différents secteurs de la population.
Il y a des gens qui ont aimé Fern des garçonsd’autres qui aimaient l’animateur de radio et de jeu télévisé, et beaucoup aimaient simplement son humour.
«C’est un homme qui avait plusieurs facettes […] Et en plus, il aimait beaucoup de choses », ajoute-t-elle.
Il était autant un « érudit » qu’un « comique », capable de partager son émerveillement sur une multitude de sujets, soutient Mme Parisien.
Vendredi, des funérailles ont eu lieu en son honneur au Planétarium de Montréal, un endroit parfait pour l’astronome amateur.
Unis par l’humour
Ensemble, Paul Houde et Thérèse Parisien ont développé une relation basée sur l’humour et l’autodérision lorsqu’ils animaient ensemble à la radio.
Paul Houde prenait un malin plaisir à créer des numéros basés sur les « gaffes » de Madame Parisien.
« Quand je boudais, il me disait : ‘Si tu ne vaux pas rire, tu ne vaux pas grand-chose’ », dit-elle.
Avec l’expérience, les deux animateurs ont développé un savoir-faire pour se déstabiliser mutuellement.
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