ÉTATS-UNIS
Article réservé aux abonnés
Élections américaines de 2024dossier
La victoire de Trump, multi-condamné et ouvertement misogyne, fait craindre le pire pour les Américains qui, après la nomination de juges conservateurs à la Cour suprême lors de son premier mandat, ont déjà payé le prix de l’abrogation du droit d’agir. L’avortement au niveau fédéral.
Xénophobe, homophobe, misogyne… Selon ses déclarations, Donald Trump, réélu mercredi 6 novembre à la tête des Etats-Unis, nourrit de l’hostilité envers tous ceux qui ne lui ressemblent pas. Lors d’un rassemblement dans le Wisconsin le 30 octobre, le candidat républicain de 78 ans a tenté d’oublier son passé pour rallier les femmes à sa cause, conscient que l’écart de vote entre les sexes pourrait lui nuire lors de l’élection. scrutin. Le milliardaire n’a cependant pu s’empêcher de sombrer dans la misogynie, se proclamant “protecteur” femmes “qu’ils le veuillent ou non.”
Cette énième sortie polémique s’ajoute à une longue série de propos sexistes et dégradants tenus tout au long de sa carrière publique, que ce soit en tant qu’homme d’affaires, célébrité ou homme politique. Donald Trump a souvent appelé des femmes influentes qui le critiquent “dégoûtant” ou considèrent qu’ils agissent sous l’influence de leurs « hormones menstruelles ». Quant à
Canada
Related News :