Publié le 6 novembre 2024 à 10h35. / Modifié le 6 novembre 2024 à 10h41.
-
La loi sur l’aide aux victimes d’infractions impose aux cantons de disposer d’un centre dédié à l’accompagnement des personnes ayant subi des violences graves
-
Le centre de Genève constate que l’accès à la justice reste difficile et s’apparente souvent à un parcours du combattant
-
Trop de victimes se disent découragées par la procédure pénale et regrettent d’avoir mis le doigt dans cette démarche
Accès à la justice. C’est le thème phare qu’a choisi le Centre de consultation des victimes d’actes criminels de Genève (Centre LAVI) pour célébrer, ce jeudi, son 30e anniversaire. Au programme, l’organisation d’un colloque interdisciplinaire destiné à alimenter cette réflexion et à sensibiliser les acteurs de la chaîne pénale. Sans oublier la mise à disposition de nouvelles brochures expliquant le fonctionnement de la machine judiciaire aux personnes concernées. Car la procédure suscite encore trop souvent la peur et représente une véritable épreuve pour ceux qui ont subi des violences physiques, psychologiques ou sexuelles, ainsi que pour leurs proches. Le point sur la situation avec Muriel Golay, directrice de ce centre dont la mission est d’accompagner et de protéger les victimes.
Le Temps : LAVI est entrée en vigueur en 1993. Qu’est-ce qui a fondamentalement changé ?
Envie de lire tous nos articles ?
Pour CHF 29.- par mois, profitez d’un accès illimité à nos articles, sans engagement !
je m’abonne
Bonnes raisons de s’abonner au Temps :
- Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
- Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l’application mobile
- Plan de partage de 5 articles par mois
- Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
- Accès aux suppléments et à T, le magazine Temps, au format e-paper
- Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés
Vous avez déjà un compte ?
Se connecter
suisse
Related News :