L’Association des Jeunes Journalistes dénonce les violences arbitraires du Pacha Hay Al-Hasani contre les journalistes

L’Association des Jeunes Journalistes dénonce les violences arbitraires du Pacha Hay Al-Hasani contre les journalistes
L’Association des Jeunes Journalistes dénonce les violences arbitraires du Pacha Hay Al-Hasani contre les journalistes

Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :

Héba Presse – Casablanca

L’Association marocaine des jeunes journalistes a dénoncé avec force les pratiques illégales menées par un groupe d’agents publics affiliés à l’administration territoriale, qui visent à entraver le travail journalistique de terrain et à limiter la capacité des journalistes à exercer librement et de manière indépendante leurs fonctions professionnelles. .

L’association Sadda a également dénoncé, à travers un communiqué publié aujourd’hui dimanche, l’interdiction arbitraire dont ont fait l’objet des confrères journalistes le pacha de Hay Hassani lors d’une visite de terrain effectuée par le gouverneur de la région de Casablanca-Settat, accompagné du maire. de la ville et le président du Conseil Ouvrier de Casablanca, lors d’un des ateliers de terrain de la capitale économique.

L’association considère cette interdiction comme une violation flagrante des droits des journalistes d’accéder à l’information et de couvrir les événements sur le terrain, surtout dans un contexte où le Maroc connaît des crises majeures qui nécessitent un suivi journalistique professionnel et transparent.

L’association rappelle que ces pratiques se répètent de manière remarquable, ce qui traduit un net déclin du respect des contenus constitutionnels et juridiques qui garantissent la liberté du travail journalistique, et souligne que ces agissements sont incompatibles avec l’esprit de la constitution marocaine et du les lois régissant la profession de journaliste.

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L’association exprime également son rejet catégorique du fait que certains responsables autorisent des personnes se faisant passer pour des « journalistes » à couvrir des campagnes de libération du domaine public, alors que les journalistes professionnels détenteurs de cartes professionnelles officielles délivrées par le Conseil national de la presse sont empêchés de le faire. donc. Ce double jeu soulève des sourcils et des questions sur le pourquoi. derrière cette coutume. Ce qui contrevient à la loi et viole les principes de transparence.

L’association souligne l’importance d’une bonne communication entre les pouvoirs publics et le corps journalistique, ainsi que la nécessité d’appliquer la loi de manière équitable et ferme à l’encontre de toute personne se faisant passer pour un « journaliste », tout en garantissant le droit des journalistes professionnels d’accéder à l’information et de couvrir événements sans obstacles.

En conclusion, l’association a appelé les autorités compétentes à prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à ces pratiques et respecter les droits des journalistes tels que stipulés dans la Constitution et les lois en vigueur, et souligne que la poursuite de ces violations affectera négativement La réputation du Maroc en tant que pays respectueux de la liberté de la presse et œuvrant à son renforcement.

A noter que le Pacha de Hay Al-Hasani est intervenu hier pour empêcher les photojournalistes d’exercer leur devoir professionnel, tel que le stipule la Constitution et les lois internationales relatives à l’exercice de leurs fonctions par les journalistes.

 
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