Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press : Muhammad Zariyouh
Mercredi prochain, l’attention se tournera vers la cour d’appel de Fès, où se tiendra la septième audience du procès de Mohamed Abarkan, chef du groupe Izanen dans la province de Nador, ainsi que de plusieurs autres prévenus dans des affaires liées à la corruption. Cela fait suite à sa première condamnation à cinq ans de prison et à une amende de 100 000 dirhams pour des chefs d’accusation, notamment de falsification de documents officiels et de participation à l’émission d’actes administratifs illégaux, qui ont suscité une large controverse dans les milieux locaux et judiciaires.
A mesure que la date de la séance approche, des questions se posent à nouveau sur la possibilité d’une absence cette fois-ci d’Abrakan, après qu’il s’était absenté des séances précédentes sous prétexte de maladie. Bien qu’il ait fourni des certificats médicaux pour justifier son absence, ces justifications ont fait l’objet de doutes et de critiques, notamment après son apparition dans des activités locales liées à ces absences, ce qui a suscité la surprise des observateurs et accru l’intensité des critiques.
Les questions ont été renouvelées surtout après un incident passionnant survenu le 25 décembre, alors qu’Abarkan était absent du procès, mais il s’est présenté le même jour à une réunion locale à Nador pour discuter des plans de développement de la région. Cet incident a conduit certains à remettre en question la véracité des certificats médicaux fournis et a soulevé des questions sur le sérieux du traitement de ces justifications et sur l’étendue de l’engagement d’Abarkan sur la voie de la justice.
Cette controverse s’accompagne d’appels de la part des partisans du dossier sur la nécessité d’appliquer strictement la loi concernant les absences répétées des accusés, afin de garantir l’intégrité du procès et de préserver l’indépendance du pouvoir judiciaire. Cette affaire est un test pour les autorités judiciaires afin de démontrer leur engagement envers les principes de transparence et de responsabilité, en particulier dans les affaires liées à la corruption publique.
Les milieux judiciaires et les observateurs de la prochaine session attendent la décision du tribunal sur la présence ou l’absence d’Abarkan, tout comme chacun attend une position décisive de la justice sur cette question. Cette attente soulève un large débat sur l’importance de lutter contre les tentatives d’exploitation des lacunes juridiques susceptibles d’affecter le cours de la justice et la réputation du pouvoir judiciaire dans des affaires aux dimensions sensibles.
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