L’INRH soutient les pratiques durables – Aujourd’hui le Maroc

L’INRH soutient les pratiques durables – Aujourd’hui le Maroc
L’INRH soutient les pratiques durables – Aujourd’hui le Maroc

Avec son futur centre de recherche sentinelle à M’diq

Transformations : L’Institut National de Recherche Halieutique s’appuie sur une démarche d’adaptation et d’innovation afin d’anticiper les mutations que connaît notamment le secteur de la pêche. Ainsi, il compte créer un centre spécialisé dans la pêche sentinelle et l’aquaculture à M’Diq. Ce projet, en phase d’étude de faisabilité, vise à accompagner le développement actuel des activités aquacoles et le processus de transformation des systèmes de pêche vers des pratiques durables.

Plus que jamais, un compromis entre les enjeux économiques et l’urgence de protéger et de conserver les ressources halieutiques et les écosystèmes marins est nécessaire. Pour répondre aux défis environnementaux marins tout en tenant compte des ambitions économiques et industrielles du secteur de la pêche, le Maroc mise sur la recherche scientifique. En ce sens, l’INRH souhaite renforcer son potentiel dans le domaine de la recherche sentinelle. Il envisage de créer un centre spécialisé dans la pêche sentinelle et l’aquaculture à M’diq.

Ce projet s’inscrit dans son plan stratégique de développement à l’horizon 2030 aligné sur les orientations du Nouveau modèle de développement, du plan Halieutis renouvelé et du programme économie bleue. Ce renforcement s’appuie, comme le précise l’INRH, sur le développement d’un projet structurant qui consiste en la transformation du Centre spécialisé en ingénierie d’élevage et d’aquaculture marine en un centre sentinelle de pêche et d’aquaculture qui vise à renforcer la proximité de la recherche et à compléter l’existant. l’effort de recherche aquacole en soutenant le développement actuel des activités aquacoles et le processus de transformation des systèmes de pêche vers des pratiques durables. Il s’agit également de développer la recherche sentinelle dans le domaine marin marocain en partenariat avec les différents acteurs et opérateurs du secteur de la pêche et de l’aquaculture et de déployer le concept de pêche sentinelle à travers un centre physique intégré au port de pêche.

Ce projet vise également à renforcer la sensibilisation et la vulgarisation des connaissances pour répondre aux attentes fortes des pouvoirs publics et des populations locales en matière de recherche scientifique en lien avec les problématiques liées au changement climatique et à la dégradation des océans.
« La création de ce centre implique une transformation sur la base des nouvelles orientations de la station piscicole de M’diq du Centre spécialisé en ingénierie d’élevage et d’aquaculture marine qui a été construite en 1995, sur un terrain de 2.400 mètres carrés à la “à l’intérieur du port de M’diq, dans le cadre du projet de coopération maroco-japonaise, relatif au développement des travaux de recherche en aquaculture”, indique l’INRH.

Et d’ajouter : « Cette gare a fait l’objet d’un projet de modernisation en 2020 qui a été abandonné après les travaux de démantèlement et de démolition en raison des restrictions instaurées pour faire face aux effets de la pandémie de coronavirus. COVID-19[feminine”AnoterqueleMarocseclasseausommetdespuissancesdepêcheafricainesavecunlittoralde3500kmbordantl’océanAtlantiqueetlamerMéditerranéeetuneZEEdeplusd’1milliondekm2deseauxparticulièrementrichesenpoissonsetunediversitébiologiqueexceptionnelle

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