Logan Mailloux a récolté 15 points en 25 matchs depuis le début de la saison dans la Ligue américaine.
Au fond, on peut dire que c’est une production respectable pour un défenseur de 21 ans.
Mais depuis 18 matchs, rien ne va plus offensivement pour l’espoir du Canadien de Montréal. C’est plus que difficile…
Ce n’est pas forcément compliqué à comprendre : depuis le 15 novembre, Mailloux a marqué un petit but et n’a récolté que deux passes décisives.
Ajoutez à cela le fait qu’il affiche une fiche de -9 à ses 18 derniers matchs, qu’il évolue désormais en 2e avantage numérique… Et ça permet de se rendre compte qu’il traverse une période vraiment moyenne.
C’est ordinaire quand on regarde son dossier :
Le défenseur en est actuellement à sa deuxième saison professionnelle.
Il semble avoir été durement touché par le fameux malheur de la deuxième année… Même si cela commençait vraiment bien pour le défenseur.
Rappelons que Mailloux a disputé cinq matchs avec le CH en début de saison, qu’il a bien performé offensivement (trois points, dont un but) et qu’il a aussi totalisé neuf points à ses quatre premiers matchs de la campagne avec le Rocket.
Il est peut-être trop tôt pour appuyer sur le bouton de panique car l’échantillon est relativement mince, mais il faut quand même admettre que tout le monde veut en savoir plus sur lui.
Tout le monde sait que le défenseur a ce qu’il faut pour réussir et c’est peut-être juste une période creuse… Mais disons qu’il ne s’achète pas un rappel pour le moment.
Et avec le départ officiel de Barron, c’est à Mailloux de donner plus pour solidifier sa place au sein de l’organigramme du CH parmi les défenseurs droitiers.
Notons également que depuis le 15 novembre, où les choses ont commencé à mal aller pour Mailloux, le Rocket présente une fiche de huit victoires, huit défaites et deux autres revers en prolongation.
Ce n’est pas terrible… Mais le club local du Canadien est vraiment meilleur quand son défenseur numéro un joue comme un défenseur numéro un.
A Mailloux de se remettre sur les rails donc.
En rafale
– Difficile d’oublier.
– Oh oui?
– Beau mais.
– Ça va bien à Ottawa.
– Son retour devra attendre.
