la possibilité d’un acte terroriste n’est pas exclue

la possibilité d’un acte terroriste n’est pas exclue
la possibilité d’un acte terroriste n’est pas exclue
la possibilité d’un acte terroriste n’est pas exclue

LLe site d’information lituanien Delfi rapporte que quatre personnes, deux pilotes et deux employés, se trouvaient à bord de l’avion qui s’est écrasé dans la cour d’un immeuble proche de l’aéroport de Vilnius. L’un des occupants a été tué dans l’accident, ont indiqué les secours. Trois autres ont été blessés et transportés à l’hôpital. L’un des pilotes a été désincarcéré après avoir repris connaissance.

Initialement, il avait été annoncé que l’avion s’était écrasé sur un immeuble résidentiel. Le maire de Vilnius, Valdas Benkunskas, a toutefois annoncé un peu plus tard que l’engin s’était écrasé dans la cour de l’immeuble.

Les douze personnes présentes dans le bâtiment au moment du crash ont été mises en sécurité. L’appareil a effectué un atterrissage d’urgence, selon les premières conclusions, tandis que l’enquête se poursuit.

Le soulagement en chiffres

Un porte-parole de l’aéroport a déclaré à LRT que l’avion venait de Leipzig, en Allemagne. Les secours sont présents en grand nombre, a-t-il ajouté. Ausra Rutkauskien, responsable de DHL Lituanie, a confirmé que l’avion appartenait à un sous-traitant de la compagnie.

Les autorités de sécurité allemandes ont mis en garde fin août contre des « dispositifs incendiaires non conventionnels » envoyés par l’intermédiaire de prestataires de services de fret, après plusieurs incidents au cours desquels des colis envoyés par des particuliers à travers l’Europe ont pris feu pendant le transport. . Cependant, il n’existe actuellement aucune information sur un lien entre le crash et un éventuel sabotage.

La piste terroriste n’est pas exclue

Lors d’une conférence de presse donnée lundi matin, le commissaire général lituanien Arūnas Paulauskas a indiqué qu’il s’agissait très probablement d’un accident technique ou d’une erreur humaine. Il a toutefois estimé que la possibilité d’un acte terroriste “ne peut jamais être exclue”. «C’est une des hypothèses qu’il faudra vérifier au cours de l’enquête, qui sera longue. Je pense que l’examen des lieux prendra jusqu’à une semaine », a-t-il déclaré.

 
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