Carlos Tavarès, PDG de Stellantis, à Rennes ce lundi : on vous explique pourquoi

Carlos Tavarès, PDG de Stellantis, à Rennes ce lundi : on vous explique pourquoi
Carlos Tavarès, PDG de Stellantis, à Rennes ce lundi : on vous explique pourquoi

Par

Lauren Fertin

Publié le

18 novembre 2024 à 8h02

Voir mon actualité
Suivre l’actualité Rennes


Version audio générée par IA

Le PDG (Directeur général) de Stellantis Carlos Tavares est présent dans la capitale bretonne, ce lundi 18 novembre 2024.

Le PDG du groupe automobile sera en visite dans l’après-midi le site de production de Rennes-La Janais.

« Une visite de terrain »

Dès 15 heures, Carlos Tavarès effectuera « une visite de terrain » et notamment deux ateliers d’injection plastique et de ferrage mis en place pour accueillir le nouveau véhicule électrique CR3.

Vers 16h30 et jusqu’à 17h, un temps d’échange sera discuté avec le PDG.

Vidéos : actuellement sur Actu

Qu’en est-il de la fermeture de l’atelier d’outillage ?

Les discussions entamées s’orienteront également vers le sujet de emploi ? Le 27 juin 2024, Stellantis a annoncé la fermeture à l’automne 2024 de l’atelier d’outillage de l’usine de Rennes (fabrication des moules pour pièces automobiles), employant environ 80 salariés en CDI et CDD. Atelier qui se fondra progressivement dans celui de l’injection plastique.

Laurent Valy, délégué syndical de la section CFDT chez Stellantis Rennes, avait alors dénoncé « une lacune importante dans le choix stratégique du groupe » et, enfin, « une forte perte d’emplois » ; soulignant la présence « d’un plan de départs volontaires ».

Plusieurs visites

Ce n’est pas la première fois que le grand patron de Stellantis visite l’usine rennaise. Les derniers remontent à 2018et, plus récemment, à juin 2023.

Carlos Tavarès avait échangé à cette époque avec employés de l’entreprise ; le projet CR3 n’était pas encore à l’ordre du jour des discussions.

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias préférés en vous abonnant à Mon Actu.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV “C’est un pays sous influence russe”, témoigne un journaliste lanceur d’alerte
NEXT La nouvelle version de la « super note » de De Wever ne plaît toujours pas au Vooruit, le blocage continue