Figure centrale de la politique en Flandre et en Belgique depuis près de 20 ans, Bart De Wever n’est plus diabolisé comme à ses débuts côté francophone. Une évolution claire. Au point d’être pressenti comme le prochain Premier « de tous les Belges ». Sauf que l’opposition est sur le pied de guerre, prête sans doute à… diaboliser le leader nationaliste flamand et son équipe s’il venait à s’installer aux Seize. L’histoire n’est pas terminée.
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Publié le 13/06/2024 à 19h06
Temps de lecture : 1 min
J.Janvier 2005 : Bart De Wever, (déjà) président de la N-VA, veut marquer les esprits, faire parler de sa formation nationaliste flamande. Il y va fort, envoyant douze camions déverser de faux billets de 50 euros au pied de l’ascenseur à bateaux de Strépy-Thieu, symbole des transferts financiers entre la Flandre et la Wallonie. Une opération choc qui illustre bien son mépris de l’époque, et celui de son parti, à l’égard des francophones « profiteurs ».
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