La femme ressuscitée morte de l’Arve, à Genève, le 12 novembre 2014, n’a toujours pas été identifiée, malgré des recherches menées en Suisse et à l’étranger. Cependant, le délai de prescription pénale reste ouvert.
“Les éléments de l’enquête suggèrent que cette femme aurait des liens avec un ou plusieurs de ces pays: la France, l’Espagne, le Portugal et le Brésil”, a indiqué mardi la police genevoise, qui avait lancé un appel à témoins en 2018. Le corps avait été soigné. à hauteur des chutes, près du quai du Cheval-Blanc.
Le corps flottait dans l’eau, a indiqué une porte-parole de la police genevoise. Depuis qu’il a été repéré, un hommage anonyme est régulièrement publié pour “L’Inconnue de l’Arve” dans les pages des avis de décès de la Tribune de Genève.
La police genevoise lance un nouvel appel à témoins en plusieurs langues. Elle demande à toute personne ayant des informations de contacter la Brigade criminelle de Genève au 022 427 72 40 ou 117.
Cette femme avait entre 40 et 50 ans il y a dix ans. Elle mesurait 1,56 mètre et pesait 56 kilos. Ses cheveux étaient longs, blonds décolorés et attachés en chignon. Elle portait des boucles d’oreilles en perles et une montre LOTUS en argent. Elle avait un tatouage représentant un trèfle à quatre feuilles sur le dos de sa main droite, près du pouce.
/ATS