Le PS négocie avec le PTB dans cinq villes, Mons, Herstal, Molenbeek, Forest et Schaerbeek, a-t-on confirmé lundi matin au bureau, boulevard de l’Empereur. Paul Magnette est passé à l’action. Affaire close ? Pas si vite.
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Journaliste au centre Powers
Par David CoppiPublié le 11/04/2024 à 19h21
Temps de lecture : 2 minutes
LLe PS et le PTB vont se marier. Il n’y a plus de doute après le bureau politique du PS lundi matin, boulevard de l’Empereur, où Ahmed Laaouej, président de la fédération bruxelloise, a confirmé – avec Catherine Moureaux (PS), bourgmestre de Molenbeek, et Charles Spapens (PS), attendu à Forest – ceci en substance : « Il faut tenir compte des réalités locales, et de toute façon le MR est trop agressif, nous discutons avec le PTB. » Ajoute Schaerbeek. Trois communes pourraient changer dans les prochains jours, et voir émerger une alliance inédite dans notre histoire politique, “ce qui fait environ 300.000 personnes au total, ce n’est pas rien”, a quant à lui commenté Philippe Close, bourgmestre de Bruxelles-Ville. Ce n’est pas tout. Frédéric Daerden a expliqué qu’il négociait également avec le parti de Raoul Hedebouw à Herstal, Nicolas Martin est en route à Mons. Paul Magnette, qui n’encourageait pas vraiment ce type d’alliances, est passé à l’action. Certains avaient craint que les échanges ne tournent à la polémique, cela n’a pas été le cas. Est-ce que tout roule ?
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