les têtes de liste en meetings partout en France pour le dernier week-end de campagne

les têtes de liste en meetings partout en France pour le dernier week-end de campagne
les têtes de liste en meetings partout en France pour le dernier week-end de campagne

A une semaine des élections européennes, les têtes de liste occupent le terrain pour le dernier week-end de campagne. Les électeurs s’apprêtent à voter en grand nombre puisque 95% des personnes en âge de voter sont déjà inscrites sur les listes électorales.

17:22 – Raphaël Glucksmann tacle les macronistes

Au coude à coude dans les sondages avec la tête de liste de la majorité présidentielle, Raphaël Glucksmann a estimé depuis Marseille que « peu de gens [les] ne l’avaient vu venir, ni les sondeurs, ni les commentateurs, ni les stratèges de l’Élysée ». Plaidant pour une voie de solidarité, de justice, de démocratie ou d’écologie, le candidat socialiste a estimé que les derniers sondages rendent fébriles “les macronistes qui ne voulaient que les extrêmes comme opposants”.

17h08 – Conditions non réunies pour une union de la gauche

Interrogée sur l’absence d’une union de la gauche aux élections européennes, Marie Toussaint a expliqué que les conditions pour y parvenir “n’étaient pas réunies”, expliquant qu’il y avait “un manque de clarté” sur les questions écologiques avec, par exemple, les autoroutes. ou encore les pistes de ski en plastique qui continuent d’être financées par les élus socialistes.

17h00 – Un moment difficile pour l’écologie

Toujours en difficulté dans les sondages, la candidate écologiste Marie Toussaint a estimé sur LCI que nous vivons « un moment difficile pour l’écologie politique en France comme dans toute l’Europe ». Appelant à une grande mobilisation pour amener à Strasbourg le plus grand nombre possible de députés écologistes, Marie Toussaint a encore pointé « une domination culturelle extrêmement importante de l’extrême droite » qui mène aujourd’hui « une bataille sans merci contre les politiques de l’environnement ».

16h55 – Un concours Lépine pour les pires idées gouvernementales

Alors qu’elle était en réunion à Toulouse ce samedi, Manon Aubry n’a pas manqué de cibler le gouvernement après la dégradation de la note financière de la France par Standard & Poor’s. “Ce gouvernement récolte ce qu’il sème”, a-t-elle d’abord expliqué, avant d’expliquer que ce dernier “a vidé les caisses de l’Etat en multipliant les cadeaux fiscaux aux plus riches”. Dénonçant « un concours Lépine des pires idées du gouvernement pour faire les poches des Français », la tête de liste LFI a estimé sur LCI que les prochaines élections européennes seront l’occasion de « sanctionner la politique du gouvernement ».

16:08 – Raphaël Glucksmann en meeting à Marseille

Le candidat du Parti socialiste-Place publique est ce samedi à Marseille pour un grand rendez-vous. Actuellement en troisième position des intentions de vote dans les sondages, l’eurodéputé s’exprimera à partir de 16h15 depuis le Dock des Suds. Avant lui, plusieurs autres personnalités prendront la parole, comme le maire socialiste de la ville, Benoît Payan, la secrétaire générale de Place publique, Pascaline Lecorché, ou encore le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure.

15:20 – Valérie Hayer, une candidate méconnue ?

La tête de liste de la majorité présidentielle est-elle trop peu connue du grand public ? C’est en tout cas ce qu’a reconnu sur RMC Clément Beaune, le porte-parole de la liste Renaissance aux élections européennes. Plaidant pour “aider collectivement à mieux le faire connaître”, l’ancien ministre des Transports a néanmoins insisté sur le fait que ces élections n’étaient pas “un casting, un concours de théâtre ou de beauté”. “Le plan de relance européen, c’est Valérie Hayer qui l’a construit (…) C’est bien d’avoir des candidats qui ont fait le travail et qui sont crédibles”, a-t-il encore expliqué. .

En difficulté dans les sondages et dépassé par la candidate PS-Place Publique, beaucoup s’interrogent sur le choix de Valérie Hayer comme tête de liste, malgré son mandat de députée européenne sortante. Souvent dans l’ombre de personnalités du camp présidentiel présentes lors de ses meetings, et notamment du Premier ministre Gabriel Attal, certains militants n’hésitent pas à exprimer leur préférence pour l’ancien ministre de l’Éducation nationale. “Avec lui, c’est toujours décevant, il nous embarque”, a déclaré mardi à BFMTV l’un des militants lors d’un meeting à Boulogne-Billancourt. “Elle a les compétences, elle a ce qu’il faut, mais je préfère Gabriel Attal”, a expliqué un autre.

14:14 – Léon Deffontaines critique Jordan Bardella

Avant un grand rendez-vous prévu ce dimanche 2 juin à la Friche de la Belle de Mai à Marseille, Léon Deffontaines était l’invité du Journal de 13 heures ce samedi. Revenant sur son programme, celui qui mène la liste du Parti communiste français (PCF) n’a pas hésité à s’en prendre au grand favori du scrutin, notamment sur la question du pouvoir d’achat, à savoir Jordan Bardella. Alors qu’un des arguments qui revient régulièrement à l’égard du candidat du Rassemblement national est de dire « on n’a jamais essayé », Léon Deffontaines a profité de son discours pour critiquer plusieurs décisions politiques de ces dernières semaines. « Le rétablissement de l’ISF, l’indexation des salaires à l’inflation, ils ont voté contre », a-t-il souligné à propos des élus RN. Et d’ajouter : “La réalité c’est que Jordan Bardella, on essaie et on voit que ça n’augmente pas le pouvoir d’achat”

13h20 – Manon Aubry brosse Raphaël Glucksmann

Au coude à coude dans les sondages avec la tête de liste Renaissance, Raphaël Glucksmann était la cible de Manon Aubry, eurodéputée sortante et tête de liste de La France insoumise. Dans une interview accordée à Parisien, la rebelle a en effet accusé son adversaire politique d’être « un diviseur de la gauche ». Celui qui propose la création d’une allocation d’autonomie pour les jeunes pour leur permettre d’étudier dans de bonnes conditions, ou encore la mise en place d’un pass Interrail européen, a estimé que Raphaël Glucksmann avait “tourné le dos” aux Nupes, ce syndicat de gauche. qui avait néanmoins réussi à se placer comme la première force d’opposition à l’issue des élections législatives de 2022.

12:44 – Marie Toussaint veut contrecarrer les sondages

Oscillant dans les sondages entre 5 et 7 % d’intentions de vote, la tête de liste écologiste ne s’est pas encore avouée pour autant. Même si elle avait en tête le spectre d’un score inférieur à 5% qui ne lui permettrait pas d’obtenir des députés au Parlement européen, Marie Toussaint s’est voulu combative dans un entretien accordé à nos confrères de Figaro. « Nous sommes déterminés à contrecarrer les élections », a-t-elle annoncé. Ne voulant pas céder si près du vote, Marie Toussaint a également indiqué vouloir « rechercher le meilleur score possible ». Et d’ajouter : « Les gens choisissent leur vote au dernier moment ».

12h25 – « Une élection n’est jamais décidée »

Invité de BFMTV, samedi 1er juin, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire a estimé qu’une “élection n’est jamais décidée” d’avance. Alors que la candidate du parti présidentiel, Valérie Hayer, peine à remonter dans les sondages, le locataire de Bercy est revenu sur les propos du président de l’Assemblée nationale qui avait affirmé que le gouvernement « ne pourra rien faire si rien ». C’était le cas si le Rassemblement national l’emportait avec une large majorité des voix le 9 juin. « Faire ce type de commentaire, c’est reconnaître que l’élection du 9 juin est déjà décidée. Pour moi, une élection n’est jamais décidée tant qu’elle n’est pas votée », a déclaré Bruno Le Maire.

 
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