« Les tirs bloqués sont calculés par un gars assis dans un McDonald’s »

« Les tirs bloqués sont calculés par un gars assis dans un McDonald’s »
Descriptive text here

Et puis, comment trouvez-vous la série jusqu’à présent ?

Il y a encore pas mal d’action tous les soirs, ce qui est intéressant. Et hier soir, comme mon collègue Raph Simard l’a résumé plus tôt ce matin, cela n’a pas fait exception non plus.

Toutes les équipes (ou presque) sont encore en course quand on y regarde.

(Crédit : LNH.com)

Je dis « ou presque » car même si les Islanders ne sont plus qu’à un match, on sent que le club est fragile. C’est ce qui arrive quand on perd une avance de trois buts dans un match.

Après 23 :54 de jeu, les Islanders menaient 3-0. Tout allait bien… au vu des buts.

Mais par la suite, le club a commencé à arrêter de tirer. À quel point? Au point que même les Hurricanes, qui ont marqué cinq buts de suite en seconde période, https://twitter.com/Canes/status/1782597731069972972. #PréparezLeProchainMatch

En effet, après le troisième but des Islanders, le club new-yorkais n’a marqué que trois fois en un peu moins de 37 minutes de jeu. Dans un match de playoffs, on s’en souvient !

Durant le match, les Hurricanes ont tiré 39 fois au but sur leurs adversaires. Les insulaires ? 12 fois.

Au total, si l’on prend en compte les tentatives de tirs (qui incluent aussi les tirs bloqués et les tirs manqués notamment), les Hurricanes sont à 110 pour le match d’hier… contre 28 à New York.

Par la force des choses, vous comprendrez que les Islanders, qui menaient 3-2 avec moins de quatre minutes à jouer, se sont brûlés et qu’ils n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes.

Les Islanders ont bloqué 36 tirs pendant le match parce qu’ils se contentaient de défendre.

Évidemment, vous ne serez pas surpris d’apprendre que Patrick Roy n’était pas vraiment un client satisfait hier soir. Il n’a pas explosé… mais il a été gâté par les nombreux tirs bloqués, ce qui ne lui a rien fait.

Après tout, comme le rapporte Anthony Martineau, Roy n’est pas fan de cette statistique. L’entraîneur des Islanders n’a « aucune idée » de la façon dont cela est calculé et dit que c’est fait par quelqu’un assis dans l’aréna… ou chez McDonald’s.

Oh oui? S’ils me paient chez McDonald’s, je vais y aller et calculer les tirs bloqués.

Roy a sans doute voulu détourner un peu l’attention avec une telle citation puisqu’il sait que son club aura de gros ajustements à faire pour ne pas terminer la semaine au revoir.

Jeudi et samedi, les Islanders joueront à domicile.

On savait que les Hurricanes étaient forts et que les Islanders avaient un club ordinaire, tout au plus, mais disons que les deux premiers matchs de la série ont démontré l’écart flagrant entre les deux clubs.

Beaucoup de

– On peut se plaindre autant qu’on veut de Vegas, mais ce que font les Golden Knights est légal. Les équipes ne veulent pas non plus vraiment changer la façon dont fonctionne la liste des blessés à long terme. Il faut donc gérer tout ça.

– Ivan Fedotov reste à Philadelphie.

– 12 commotions cérébrales ? Aie.

– Le Rocket et la déception de rater les séries éliminatoires. [98.5 FM]

– Incroyable, ce cliché.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV ces familles qui ont fait la région lémanique
NEXT « Le vainqueur moral du derby bruxellois est Anderlecht »