Que pense le secteur du revirement ? Nous avons contacté le groupe de vigilance Décret Paysage, constitué dans la foulée de carte blanche, réunissant près de 2 000 acteurs autour du maintien de la réforme Glatigny. Le professeur Erik Van den Haute a participé à l’exercice au nom de ce groupe.
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Responsable du pôle Société
Par Éric BurgraffPublié le 17/04/2024 à 20h06
Temps de lecture : 6 minutes
Erik Van den Haute est professeur de droit à l’ULB et surtout membre du groupe de vigilance des professeurs constitué il y a quelques jours pour « maintenir les modalités actuelles de la réforme du décret Paysage, y compris les règles de finançabilité ». , un groupe proche des auteurs de la carte blanche sur le même thème et signée par près de 2 000 enseignants, professeurs, assistants, chercheurs… issus des universités et collèges. Il a regardé « médusé » le retournement de situation dans la nuit de mardi à mercredi.
Les textes votés poseront problème non seulement aux étudiants et aux enseignants mais aussi, on en parle à peine, aux équipes administratives.
Vous avez suivi avec beaucoup d’attention les débats de ces derniers jours. Qu’est-ce que cela vous fait ressentir ?
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