« Chaque génération a le droit de choisir ses héros, ses statues et ses noms de rues »

« Chaque génération a le droit de choisir ses héros, ses statues et ses noms de rues »
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Publié le 15 avril 2024 à 23h49

Sur les trottoirs, les cicatrices de nos révolutions. Dans l’asphalte, les cloques de nos désenchantements. Sur les bancs publics, les marques de nos baisers. A Genève, Lausanne, Neuchâtel, le Festival Histoire et Cité appelle toute la semaine à ouvrir la boîte noire de nos rues, à faire parler de nous et de nos ancêtres, de nos pratiques archaïques et nouvelles, de nos soulèvements lointains ou récents, d’usages perdus. dont témoignent des vestiges urbains.

La rue est un théâtre social et un champ de bataille politique et idéologique, souligne Korine Amacher, historienne spécialiste de la Russie et de l’Union soviétique, co-directrice d’une manifestation qui n’a jamais connu une telle ampleur. Lancé à Genève en 2014, sous la houlette des historiens Françoise Briegel et Pierre-François Souyri, il s’étend au canton de Vaud et, depuis l’année dernière, à celui de Neuchâtel. Le vent de nos histoires soufflera sur la Suisse romande, pour une soixantaine de conférences, débats, promenades éclairantes dans les décors de nos jours.

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