Les fans de Céline Dion sont dévastés par la souffrance de leur idole – .

Les fans de Céline Dion sont dévastés par la souffrance de leur idole – .
Les fans de Céline Dion sont dévastés par la souffrance de leur idole – .

Les fans de Céline Dion ne s’attendaient pas à être ainsi bouleversés par le documentaire consacré à la star, Je suis : Céline Dionsorti mardi sur Prime Video. Si l’on peut découvrir le chanteur canadien, souffrant du symptôme du raideur, prêt à tout pour revenir sur scène “même si cela signifie ramper” comme l’a confié la star de 56 ans lors d’un entretien avec Hoda Kotb de AUJOURD’HUI en début de mois, d’autres moments risquent de heurter les plus sensibles.

En cause, une scène notamment où la mère de René-Charles, Nelson et Eddy est victime d’une crise. On la voit maintenue dans une position latérale de sécurité, son corps raidi, son regard fixe, puis son visage déformé par la douleur et les spasmes avant de se propager à l’ensemble du corps. En voix off, on entend un membre du corps médical expliquer que lors d’une crise, le patient reste conscient et que la situation est donc très angoissante.

Il y a ceux qui sont sous le choc, comme cet internaute qui n’arrive pas à exprimer « à quel point c’est cru, déchirant et, parfois, bouleversant. Cela va me hanter pendant un moment. » Certains ont dû faire des pauses pour se remettre du choc de voir à quel point la douleur est terrible pour leur idole.

Impudique ou nécessaire ?

Si les amoureux de la star disent sans détour « ça me déchire le cœur », pour certains spectateurs, cette séquence bouleversante est nécessaire, et pour d’autres, elle est « volontairement impudique » ou voyeuriste.

Ce qui est sûr, c’est que le film aura fait prendre conscience de ce qu’est le syndrome de la personne raide. C’était l’intention de la réalisatrice Irène Taylor, qui souhaite nous faire comprendre pleinement ce que vit Céline Dion et qui a justifié son choix dans le New York Times.

« Nous n’avons donc pas coupé. Il y a eu des moments où je me suis dit : « OK, c’est vraiment intense. » J’ai laissé le film durer deux ou trois secondes de plus, puis j’ai coupé. Il y a des aspects inconfortables de la vie, et si la narration cinématographique peut nous aider à supporter cet inconfort, c’est ce que je veux faire avec mes films », a-t-elle expliqué.

 
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