LLa liberté des uns finit là où commence celle des autres, c’est peut-être un sujet sur lequel certains partis politiques pourraient travailler en parallèle du baccalauréat de philosophie qui approche. La liberté de Calogero de refuser la diffusion de ses chansons lors de certains événements, comme un meeting de Jordan Bardella, candidat RN aux élections européennes, en est un exemple.
Il aurait encore fallu lui demander une autorisation pour que le chanteur ait la liberté de refuser – ou d’accepter – ce que le Rassemblement national n’a pas fait. A l’instar de Donald Trump, dont on ne compte plus les rapines musicales pour s’afficher devant ses partisans, le parti de Marine Le Pen a choisi la chanson « 1987 » de Calogero pour clôturer leur meeting de poulains, le 2 juin au Dôme de Paris.
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Calogero « scandalisé »
« J’ai été scandalisé d’apprendre hier, dimanche 2 juin, que ma chanson « 1987 » était diffusée à l’issue du meeting du Rassemblement national au Dôme de Paris. A aucun moment je n’ai donné d’autorisation pour y diffuser ma musique. J’affirme que je ne l’aurais jamais donné”, peut-on lire sur les réseaux sociaux de la cha […] En savoir plus
