A Bordeaux, Édouard Philippe travaille sa stature et promet une « puissante »

A Bordeaux, Édouard Philippe travaille sa stature et promet une « puissante »
A Bordeaux, Édouard Philippe travaille sa stature et promet une France « puissante »

Après une semaine marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, le candidat à la présidentielle a estimé, lors de son premier grand meeting public, que « nous sommes coincés dans une crise politique ».

Deux ans, c’est déjà long. Mais deux ans en politique, c’est une éternité. Si les candidats à l’élection présidentielle, fixée à 2027, hésitent pour l’instant à sortir du bois, Édouard Philippe, lui, assume son ambition.

Seul prétendant de la coalition gouvernementale à être à ce stade sur la ligne de départ, le patron du parti Horizons a tenu dimanche, à ce titre, sa première grande réunion publique au Palais des Congrès de Bordeaux (Gironde) – ville dont l’ancien Le maire Nicolas Florian, successeur d’Alain Juppé entre 2019 et 2020, est décédé à 55 ans plus tôt des suites d’un accident vasculaire cérébral. Informé de la nouvelle après son intervention, le maire du Havre (Seine-Maritime) a demandé à son auditoire de respecter une minute de silence.

Auparavant, l’ancien Premier ministre avait posé la première pierre d’une longue campagne. 2027 sera « Une rencontre où les Français devront faire des choix fondamentaux » verser

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