Récursion à vie pour la mère d’Amandine, vingt ans pour le beau-père

Récursion à vie pour la mère d’Amandine, vingt ans pour le beau-père
Récursion à vie pour la mère d’Amandine, vingt ans pour le beau-père

Par

Jean-Marc Aubert

Publié sur

24 janvier 2025 à 17h47

Le verdict a été rendu après environ trois heures de délibération par le Hérault Assize Courta Montpellierthis Friday, January 24, 2025 afternoon: Sandrine Pissara, 54 years old, the mother of Amandine who died of starvation at the age of 13 in a storage room in the family home in Montblanc, in August 2020 was sentenced to reclusion life sentence with Une peine de sécurité minimale de vingt ans.

Pour Jean-Michel Cros, son partenaire, beau-père de l’écolière qui pesait 28 kg et 1,55 m de haut le jour où elle a été retrouvée morte, le tribunal et les jurés sont allés au-delà de l’acte d’accusation du procureur général qui avait demandé une peine de peine de condamné à une peine de peine de condamné à une peine de condamné à une peine de peine de condamné à une peine de condamné à une peine de condamné 18 ans: Il a reçu 20 ans d’emprisonnement pénal. Le procès a ouvert ses portes le lundi 20 janvier 2025. Après les parties civiles, le procureur général Jean-Marie Beeney a comparé les mauvais traitements et la souffrance de l’adolescent «à ceux infligés à un régime totalitaire», décrivant l’accusé comme «tyran et dictateur domestiques de l’intérieur ».


Le procureur général était implacable. En regardant Sandrine Pissara, la tête s’inclina dans la boîte, il a dit: «Pendant cinq jours, vous êtes entré en enfer, l’impensable, l’indicible. Vous avez pénétré dans le système Pissara, dans la dictature familiale, vous avez pénétré dans un monde inimaginable “, avant de vous tourner vers le deuxième accusé, le beau-père d’Amandine:« Dans n’importe quel système totalitaire, il y a des collaborateurs et j’en vois un Dans la boîte, c’est vous, M. Cros. Si nous avons une once d’humanité, nous réagissons. Vous n’avez pas empêché ce crime.

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Jean-Marie Beeney a assuré «qu’il ne croyait pas à la défense de la mère qui a expliqué qu’elle reproduisait la violence, dont elle a dit qu’elle était victime pendant le procès». Jamais pendant l’enquête, ni lors de l’enquête, Sandrine Pissara n’avait signalé la violence de sa mère lorsqu’elle était très jeune. Les avocats du Parti civil doutaient également fortement de ces déclarations et insistent longuement sur le martyre, la lente descente en enfer jusqu’à une horrible mort d’amandine.

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«Comment pouvons-nous le défendre? Mais ce n’est pas indéfendable et c’est un honneur de le défendre. Défendre, c’est ne pas approuver. Nous ne devons pas être contaminés par la dictature de l’émotion, je défends une femme qui a libéré ses paroles. Qui a avoué les faits. Comment expliquer la trajectoire de cette femme? Il y a certainement des choses. Cette violence maternelle ne tombe pas du ciel », a plaidé dans la défense Me Louis Dolez, l’un des deux avocats de l’accusé, qui ont dix jours pour faire appel du verdict.

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