Gary Stal ouvre un nouveau chapitre de sa vie de golfeur professionnel

Mature et armé pour affronter les vicissitudes de la vie de golfeur de haut niveau, il doit cependant encore saisir cette nouvelle perspective qui s’offre à lui. Quand on lui demande où il place la qualité de jeu pratiquée aujourd’hui sur le Tour Asiatique, par rapport à ses expériences passées, sa réponse reste encore un peu vague…

« Pour être honnête, je n’en ai aucune idéeil admet. Je pense que le niveau est celui du Challenge Tour. Ou entre le Challenge Tour et le DP World Tour. Pour les tournois estampillés Série internationale (dotation de 2 millions de dollars), c’est différent car il y a de très bons joueurs sur le terrain, notamment ceux qui jouent sur le terrain. VIE . Dans ces tournois, il sera difficile de gagner. En revanche, gagner un tournoi où ils ne seront pas là sera, je pense, bien plus jouable, bien plus abordable. »

« Au-delà, il faudra faire attention au taux d’humidité assez élevé et aux températures, même si à Dubaï je suis déjà bien servi en terme de chaleur. Il faudra veiller à bien vous hydrater, boire ce dont vous avez besoin et être vigilant au soleil. Les insolations arrivent vite là-bas. Et puis sur les cours, il y a plus de céréales qu’à la maison. L’herbe est très résistante, il y a donc beaucoup de céréales sur les greens. Entre ce décor et le soleil qui tape, on peut vite s’énerver si on ne putt pas bien. Ce sera la clé ! »

 
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