S’il est très fréquent d’assister à un procès pénal qui se termine par une condamnation conforme aux réquisitions du parquet, voire un peu plus clémentes, l’affaire jugée lundi invite à ne pas croire au principe immuable.
Dans cette affaire, où Cidali Bouazza comparait pour vol avec violence, le procureur de la République a requis quatre ans et cinq mois (ces cinq mois concernent une précédente peine avec sursis partiellement révoquée) de prison. Insuffisant pour le tribunal qui a prononcé une peine de six ans et dix mois.
Un vol pour pouvoir s’acheter de la coca
Dès la fin de l’audience, Me Nicolas Hilaire, l’avocat de…
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