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“Après avoir discuté avec Claude Bez, j’ai eu une opportunité avec Ipswich et Chelsea en 1986”

(Photo de Pascal Della Zuana/Icon Sport)

C’est celui qu’on appelle « L’Ange Vert », même s’il n’aime pas forcément ce surnom. Dans L’Equipe, et à l’occasion de son 70ème anniversaire, Dominique Rocheteau est revenu sur son parcours, lui qui est né en Charente-Maritime. Il y vit maintenant depuis près de cinq ans. A cette occasion, le quotidien sportif lui a demandé ce qu’il avait appris du sien. Il se souvient avoir été un jour courtisé par les Girondins de Bordeaux.

« Qu’est-ce que je retiens de ma carrière ? Pas les titres. Parce que vous êtes à la fois heureux et un peu frustré, parfois. Comme ne pas avoir gagné la Coupe du monde 1982 (demi-finales). De ne pas non plus être parti à l’étranger. Je voulais l’Angleterre et son football. Après avoir discuté avec Claude Bez, le président de Bordeaux, et Bernard Tapie, celui de l’OM, ​​j’ai eu une opportunité avec Ipswich et Chelsea en 1986. Cela ne s’est pas produit et je me suis retrouvé à Toulouse. Non, ce qui me reste de mes dix-huit années de carrière, ce sont les relations nouées avec le monde du football et le plaisir qu’on prend à se revoir, cinquante ans après, avec les Verts de 1976. C’est particulier et c’est le plus beau. Cela vaut bien plus qu’une victoire en Ligue des champions. Mais bon, c’est comme si on l’avait gagnée, cette finale de 1976 (0-1, contre le Bayern Munich). Nous avons parcouru les Champs-Élysées et avons été reçus à l’Élysée (il sourit). Au final, j’ai l’impression d’avoir fait ce que je voulais, avec une certaine liberté.

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