Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
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Le parlementaire Rachid Hamouni, chef de l’équipe Progrès et Socialisme à la Chambre des représentants, a interrogé le ministre de l’Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, sur la crise de l’usine Secom à Meknès et les souffrances qu’elle a causées à des dizaines de familles dont Les soutiens de famille ont perdu leurs moyens de subsistance quotidiens après avoir été expulsés et déplacés sans aucune infrastructure significative.
Le parlementaire Hamouni a adressé une question écrite au ministre, alors qu’aucun parlementaire de la circonscription de Meknès n’a pris l’initiative d’attirer l’attention sur ce problème social qui concerne des centaines de familles, notamment face aux sit-in judiciaires d’hommes et de femmes. travailleurs dans des conditions misérables, cherchant justice et leur permettant de recevoir leur dû.
Il l’a interrogé sur les mesures que prendra le ministère de tutelle pour contraindre les dirigeants de l’entreprise à payer les salaires des travailleurs protestataires, à remplir leurs obligations en matière de sécurité sociale et à mettre fin à leur crise qui dure depuis un an. décennie et qui se poursuit encore dans leur sit-in qu’ils mènent depuis des mois.
La question soulevée par le parlementaire Rachid Hamouni concernant la crise de l’usine « Secom » met en lumière l’un des problèmes sociaux et économiques les plus importants auxquels sont confrontés de nombreux travailleurs au Maroc, notamment dans les secteurs industriels confrontés à des crises financières ou administratives qui affectent directement la vie des travailleurs. et leurs familles.
Ce qui distingue cette situation, c’est que le sit-in s’est poursuivi pendant plusieurs mois sans intervention efficace ni solutions concrètes de la part des autorités concernées. Les revendications des travailleurs incluent des droits fondamentaux tels que le paiement des salaires impayés, le règlement des droits à la sécurité sociale et la garantie de leurs droits conformément aux lois applicables.
Le parlementaire Hamouni a déclaré que l’usine employait plus de 1 200 travailleurs, hommes et femmes, depuis le début de ses activités il y a un demi-siècle, avant que des dizaines d’entre eux ne se retrouvent déplacés sans travail ni compensation. , compte tenu de l’échec de toutes les tentatives visant à trouver des solutions efficaces au problème. le problème existant et le manquement de la direction de l’usine à remplir ses obligations.
Il a souligné que les travailleurs vivent aujourd’hui dans des conditions sociales difficiles en raison du non-paiement de leurs salaires et des cotisations à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale. Ils organisent un sit-in ouvert depuis le début de l’été de cette année. à proximité d’une unité hôtelière au centre de la ville nouvelle, dans un camp dont le cercle s’agrandit de jour en jour.