Christian Lagarrigue se contente d’un titre de vice-champion de

Christian Lagarrigue se contente d’un titre de vice-champion de
Christian Lagarrigue se contente d’un titre de vice-champion de France

Il n’y aura pas de 34ème titre de champion de en 125cm 3 C4 A vintage (il est 3ème en 250cm 3) cette année pour le pilote Sanvensa. Après une saison éprouvante, avec 8 manches disputées aux quatre coins de la France, le sexagénaire (68 ans aujourd’hui…) a dû se contenter de la deuxième place, seulement battu par un pilote de 40 ans son cadet : «J’ai commis quelques erreurs, dont des chutes que j’aurais pu éviter, et qui m’ont probablement coûté la 1ère place. En tout cas, si la décision finale avait été prise lors du dernier tour, j’aurais sans doute pu espérer mieux » confie Christian Lagarrigue, qui n’est pas exigeant. Deuxième de la dernière épreuve derrière le futur champion, le Sanvensacois a tout donné : «Jusqu’à la finale, c’était très serré. Il y a eu pas mal de gagnants différents au cours des huit tours, et cela n’a pas été grand-chose « . Côté satisfaction, le sexagénaire s’est montré une nouvelle fois maître de ses terres en remportant l’enduro organisé dans la région de Villefranche : «Et encore une fois, j’ai eu un peu de chance car j’ai connu un problème technique en fin de course. Heureusement, j’avais une avance confortable.

On va encore se promener ?

Si les prochains jours sont consacrés à un repos bien mérité, Christian Lagarrigue ne sait pas encore s’il roulera en moto l’année prochaine : «Il faut aussi se renseigner auprès des sponsors… » précise le champion, bien conscient que sans eux, il ne pourrait pas exprimer tout son potentiel. En attendant de remettre les watts, il reste encore quelques chemins à réparer du côté de Sanvensa après le passage de l’enduro. Un enduro qui pourrait avoir lieu en 2026 à Villefranche, si les bénévoles du Moto Club Rouergat ont encore la motivation nécessaire pour réaliser ce type d’épreuve, qui rassemble près de 400 pilotes sur un week-end.J’ai presque oublié. Un grand merci à mon épouse Paulette, aujourd’hui à la retraite et qui m’a aidé tout au long de la saison.

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France

 
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