Invitée sur BFM2, Angélique Angarni-Filopon, qui avait déjà tenté sa chance chez Miss Martinique en 2011, s’est exprimée sur l’évolution du concours de beauté, 13 ans après sa première participation.
Avant de remporter Miss France, samedi 14 décembre, Angélique Angarni-Filopon avait déjà tenté sa chance à Miss Martinique en 2011, mais n’avait malheureusement pas réussi à passer les sélections régionales.
Malgré tout, la nouvelle Miss France a pu, grâce à cette expérience, observer de nombreuses évolutions dans le déroulement du concours de beauté. A commencer par l’assouplissement des règles de participation des candidats, depuis 2022, qui lui a notamment permis de pouvoir briguer Miss France à 34 ans.
« Tout a un peu changé. (…) Historiquement, nous avions l’habitude de connaître les Miss très jeunes, après leurs études. J’arrive, je quitte le monde professionnel”, confie-t-elle au micro de BFM2, trois jours après son sacre.
Grâce à l’évolution du règlement du concours, Angélique Angarni-Filopon est également devenue la première Miss tatouée à être élue Miss France. La jeune femme possède deux tatouages sur le bras gauche, interdits aux candidats jusqu’en 2022.
« La valeur principale, c’est la fraternité »
Depuis sa première tentative en 2011, la nouvelle Miss France note aussi plus de « naturel » et de « bienveillance » entre les différentes candidates cette année. « L’accent est mis sur la gentillesse. On nous disait plusieurs fois par jour d’être gentils les uns envers les autres », dit-elle.
« Cela reste une compétition, bien sûr, mais nous sommes avant tout des femmes et la valeur principale, c’est la sororité », ajoute Angélique Angarni-Filopon.
“Tout cela, c’est vraiment, je pense, pour aller vers une dimension plus naturelle des concours de Miss et avoir des femmes qui s’expriment, qui n’ont pas peur d’avancer leurs idées”, a-t-elle conclu.