“C’est un grand marché. En France, ils sont plus petits. Il y a beaucoup de monde ici. Les touristes achètent bien. Nous avons l’espagnol, l’anglais… j’ai même eu des Australiens», se réjouit Florian, un Français qui tient un stand de chaussettes depuis plusieurs années.
“Les Plaisirs d’Hiver est un endroit stratégique pour se faire connaître car il y a beaucoup de circulation», nous explique Jean derrière ses pompes au service des bières bruxelloises locales.
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261 chalets
Au total, 261 chalets sont présents, répartis dans le centre historique près de la Bourse, à Sainte-Catherine, à Vismet et à De Brouckère. “C’est le marché le plus cher, le plus contraignant en termes de logistique, mais c’est celui qui accueille le plus de monde. Ensuite, étant donné que je suis bruxellois, il y a bien sûr un attachement», témoigne Sacha, qui bien qu’il vende des crêpes à cette période, tient une crèche à Uccle le reste de l’année («l’industrie hôtelière me colle à la peau »).
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“Il y a une bonne circulation car les gens bougent. Ce n’est pas comme à Liège où les clients sont assis devant les chalets.» constate André devant sa grande casserole de «champignons de Paris de Welkenraedt« . Depuis 23 ans, le Verviétois attire les clients au marché de Noël avec sa grande voix porteuse. “C’est un très bon marché, mais ce n’est toujours pas comme avant. Avant la zone piétonne, par exemple, nous devions produire beaucoup moins de nourriture et notre débit était plus élevé.
Ouvert de 12h à 22h, les Plaisirs d’Hiver durent jusqu’au 5 janvier.
mouette«Avant la zone piétonne, par exemple, nous devions produire beaucoup moins de nourriture et notre débit était plus élevé.»
